Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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20 februari 1917
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s.n. 1917, 20 Februari. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Geraadpleegd op 05 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/sj19k46w27/
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ANVERS, Mardi 20 Février 1917 Le numéro 10 centime Cinquante-neuvième Année - N° 17,846 DIRECTION & REDACTION : 14, RUE VLEMINCKX, 14 ANVERS ABONNEMENTS : Les abonnements pour la ville et les faubourgs sont acceptés au bureau du journal, H, rue Vlemmclcx.- Pour l'intérieur et l'étranger on peut s adresser a a pos e. LLOYD ANVERSIOS Annonces: 23 centimes la petite'ligne.— 50 centimes là double figir 1 franc la ligne sur double colonne Adresses industrielles 50 centimes Émissions et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au lignomètre.—Le: titres se paient d'après l'espace qu'ils occupent Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires avis Toutes les heures renseignées dans notre journal sont indiquées d'après 1 lienic t e a oui. obsgrvations météorologiques ,h< M. F. Agthe, opticien rue Léopold, 51. i Mfivr 1917. 11 !>■ «I» «Mtto. Baromètre 165. — Anvers, , 5 — Tliermom. cent. (mini.+1,5. -- Thermomètre cent (ma. _Prévisioll. Variable, «lofe orok. riuviomeue —, me. Astronomie 21 tevner (Communiqué par l'Observatoire Roval de Belgique à Uccle lez-Brmellesl , , i.ji 7h.45m. Nouv.luue le 21 févr :3 h. 9m. h " 'Seii*;;.!8 9.. Prem.quait.Ie28îévr.l7.,44 „ Loucher du so . ? ,g Pleine iuue le S mars 22 „ 58 „ Coucher de la lune-- 18 12 - Deru- QM«Uel6 mars.13 „ 33 „ Haute marée à Anvers Matin Soir 21 févr. ••• 4 h. 10 m 21 févr. ... 16 h 32 m. " ... 4 „ 52 „ 22 „ ... 17 M 12 „ 23 ... 5„32 „ 23 „ .. . t7 . 51 „ Hauteur du Rhin Cologne 17 îévi. 1.21m. Strasbourg 15 févr 182 m. Huningen „ 0.89 „ Lauterbourg „ 3 31 „ Kchl „ ~~~ •• Maxau „ 3.22 „ Mannheim „ ^9 » Gcrmersheim „ 2.72 „ Caub 16 „ 1-7 „ Mayencc „ 0.32 „ Ruhrort „ 0 60 « Bmgen „ l.«5 ,, Duisbourg „ ^.13 ,, Coblence „ 1.6j „ Waldshiit „ li77 „ Dusseldort „ 1.0? „ Lobith 17 „ '-3.36 „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar Francfort 7 lévr, 2.43m. Heilbronn !5 févr. 0.49 m. Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodensee Trêves 15 fcvr. 0.72 m. Constance 16 févr. 2.80 m- Port d'Anvers ARRIVAGE DU 19 FEVRIER Remorqueur gebr. wulit v, de Burght. DEPARTS DU 19 FEVRIER Steamer charbonnière XI, pour Hoboken. Remorqueur lxtdwic michel 11, pour Calloo. H:ite:iu-mofceur Rxkgrose III, pour Bruxelles. Allège Rhenania 21, pour Hoboken. arrêté concernant la fièvre aphteuse ou cocotte à Bruxelles Far extension de l'arrêté du 16 octobre 1915, et en vue de prévenir la propagation de la fièvre aphteuse qui s'est déclarée dans plusieurs commîmes de l'agglomération bruxelloise, il est prescrit ce qui suit, pour la durée du danger : Autour des communes contaminées d'Anderleclit, Molenbeek-Saint-Jean, Schaerbeek, Uccle, Koekel-berg et Saint-Gilles, il sera établi une zone d'interdiction englobant toutes les communes de l'agglomération bruxelloise ainsi que .les communes désignées ci-après de l'arrondissement de Bruxelles-Campagne : Woluwe-Saint-Pierre, Woluwe-Saint-Etienne, Evere, Ganslioren et Berchem-Sainte-Agathe. Gette zone d'interdiction sera soumise aux dispositions suivantes : 1. L'importation du bétail d'élevage ou servant à des usages domestiques (ruminants et porcs) est interdite. Pour des raisons économiques, des exceptions pourront être consenties soit par la « Komman dantur» de Bruxelles soit par le Chef de l'arrondissement de Bruxelles (KreiBçhef Briissel), selon !e cas. 2. L'importation du bétail de boucherie est autorisée, à condition que les animaux soient amenés directement à l'un des abattoirs publics de Bruxelles, rt'Anderlecht ou de Schaerbeek, ou bien au marché au bétail d'Anderleclit. 3. L'exportation des ruminants et des porcs est interdite, en dehors des exceptions prévues par l'arrêté du Gouvernement pris à la date du 31 août 1910 pour l'exportation du marché au bétail d'Anderlecht. Quiconque aura enfreint les présentes dispositions sera puni soit d'une amende de 200 à 1000 marks ou d'un emprisonnement de 2. semaines à 6 mois, soit de ces deux peines réunies. En cas de récidive co ; mise par un marchand, on pourra lui interdire d'exercer son commerce pendant un certain temps. Les tribunaux et autorités militaires allemands sont compétents pour infliger ces peines. Bruxelles, le 7 février 1917. Der Gouverneur von Briissel u. Brabant, hurïj Generalleutnant. avis L.a fermeture des écoles et la réquisition du charbon Nous avons publié dans notre numéro du 19 courant un avis de l'autorité occupante concernant la fermeture provisoire des écoles, et, subsidiairement, la réquisition des stocks de clrarbon. Afin d'éviter toute interprétation inexacte de l'arrêté en question, nous sommes autorisés à publier la déclaration suivante : « La prescription du dernier paragraphe, aux ter mes duquel les stocks de charbon existants sont saisis et seront mis sans délai à la disposition des communes pour être employés dans l'intérêt public, ne se-rapporte exclusivement qu'aux stocks de charbon se trouvant à la date de l'arrêté dans des établissements d'instruction fermés, et non pas à tous les autres stocks de charbon. » Au palais de justice Cabinet d'instruction Le serv ice est fait cette semaine par Mr le iuge Steyaert. 1 J * Actes de Sociétés, déposés au Greffe du Tribunal de Commerce d'Anvers I! résulte d'un acte sous seing privé en date du 1° février 1917, qu'entre MM. Eber Buchenholz et Ma l'eus Presse!, tous deux négociants en diamants' à Anvers', il a été constitué une société en nom collectif sous la raison social? de « Buchenholz et Presse 1 », avec siège à Anvers, et ayant pour objet l'achat et la vente de diamants et pierres précieuses. Durée • 10 ans. 5s résulte d'un acte sous seing privé en date du 12 février 1917, que des modifications ont été apportées aux articles 3, 13, 19, 21 -et 26 des statuts de la Société coopérative « Bureau Provincial des Récoltes de la Province d'Anvers », établie à Anvers. L'article 3 est modifié comme suit : « La société a pour objet l'achat » de la récolte indigène de 1915 et des années sui-» vantes, ainsi que la revente de ces récoltes au Co-» mité National de Secours et d'Alimentation et aux » comités qui en dépendent, à l'exclusion de tout au-» tre objet. La société peut faire toutes les opéra-» lions financières et commerciales nécessaires pour ». la réalisation de ce but.» Réélections. - Société coopérative « Vlaey Natie », a Anvers. MM. Alfred De Groof, doyen ; Charles Cuy-pers, sous-doyen ; Remi Cuvpers, doyen pour les ehp\aux : Romain Van Neste, caissier; Franc. Buedts, comptable : Alois Govaert et Michel Van Rilïas, membres de la commission. Service postal Les expéditions rie lettres fermées à l'intérieur du Gouvernement Général A partir du 25 courant, les lettres peuvent être ex-pediees de la façon suivante, dans le territoire du Goiuernemient Général. La lettre à expédier est mise ouevrte dans une seconde enveloppe fermée, qui doit être adressée au bureau de surveillance postale. , .dernier examine le contenu, ferme l'enveloppe intérieure si tout est trouvé en rè»le la munit de l'estampille et passe la lettre à ia poste pour l'expédition. La manière en vigueur jusqu'ici autorisant sui demande les personnes dignes de confiance de hure fermer les lettres par le Bureau de surveillance postale Postuberwachungsstelle) reste en outre exis- II est insisté sur ce point que la nouvelle organisation ae se rapporte qu'à la correspondance à l'in-leuî' (V' Gouvernement Général, mais ne s'applique !"•'> a celle avec l'Allemagne, les pays alliés ou neutres, etc. l'horairF~d'été tandis que l'heure d'été sera appliquée en Angleterre le dimanche de Pâques, la Commission parlementaire compétente a émis l'avis que l'heure d'été devrait être réintroduite en France dès le dernier dimanche de février ou le premier dimanche de mars. En Italie, la nouvelle heure sera appliquée du 25 mars au 30 septembre inclusivement. L'année dernière, bien que l'heure estivale ait été appliquée tardivement — le lr juin — on réalisa une économie de 8 % en charbon et 11 % en électricité. Eu Allemagne, l'heure d'été sera appliquée cette année du 15 avril au 15 septembre. On se rappelle que l'année dernière on avait commencé 15 jours plus tard pour finir le 30 septembre. 11 paraît que la Suisse va également, par raison d'économie, établir l'heure d'été cette année, proba blement à partir du lr avril. Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES, ETC. Hermine. Paris, 17 février. — Le vapeur français HERMINE a été coulé. Nordkap. — Christiania, H février. — La légation de Norvège, a Paris, télégraphie que le steamer norvégien nordkàh, allant de Bilbao à Nantes, a été coulé. Notes économiques brésiliennes Su m;. — Voir nos du 12 et 15 février L'Etat de Bahia se caractérise par l'exportation des cafés, des cuirs, du cacao et du tabac. Voici d'ailleurs le tableau de quelques-unes de ses exportations vers les pays d'outre-mer. , kilos) 1913 1914 Huile de baleine 534.480 996.309 Piassava 1.392.211 1.677.202 Cuirs 5.670.961 5.186.049 Café 5.498.160 4.212,960 Cacao 27.377.318 36.345.421 Tabac en feuilles 25.079.814 26.054.160 Caoutchouc 592.595 806.071 Plumes d'éma autruche).... 2.685 1.594 Valeur totale de l'exportation de 1913, 104.394.077 livres, et de 1914, 103.403.040 livres. Nous ne parlerons pas. des fruits de Bahia surtout de ses oranges, les plus savoureuses du monde, et dont l'exportation ne se fait qu'au Brésil même et dans l'Argentine, mais par milliers de tonnes annuellement. Bahia est devenu le grand producteur brésilien de cacao. Le,s Etats du Para et d'Amazonas tenaient auparavant la première place dans l'exportation de ce produit. Mais la fièvre du caoutchouc, qui absorbe toute la main-d'œuvre, en avait fait abandonner l'exploitation : nous ne dirons pas la culture, car on ne faisait que ramasser les calebasses qui tombaient des arbres de la forêt et éparpillaient sur le soi quantité de fèves. Bahia, au contraire, en a l'ait une culture rationnelle et a progressé en peu d'années de façon étonnante, arrivant à exporter en 1912 24.993 tonnes, en 1913 29.016 tonnes et en 1914 35.782, tonnes. I.'exportation brésilienne toute entière s'élevait en 1905 à 21.090 tonnes pour une valeur de 1.040,000 livres, à 33.818 tonnes en 1909 pour 1.599.000 livres, à 34.994 tonnes en 1912 pour 1.641.000 livres, a 30.942 tonnes pour 1.594.000 livres en 1913 et à 40.767 tonnes pour 1.901.000 livres en 1914. Quant aux tabacs, dont Bahia fournit 97 de l'exportation totale du Brésil, les chiffres de cet'e-ci sont les suivants : 1905 tonnes 20.391 liv. st. 825.00t> 1910 >• 34.149 » 1.607.000 1912 » 24.706 " 1.434.000 1913 • 29.388 » 1.638.00O 1914 » 26.980 » 1.543.000 I L'Allemagne était, depuis de longues années, le principal acheteur du tabac brésilien. Elle en reçut, en 1913, 24.473 tonnes et en 1914, 22,132 tonnes. Outre le tabac en feuilles, le Brésil et surtout, presque exclusivement même, Bahia exporte annuellement vers les pays d'outre mer deux et demi millions de cigares, quantité de cigarettes, du tabac a priser et du jus de tabac, (praiss). Victoria, capital et port de l'Etat de Espirito Santo, exporte les sables monazitiques : 2428 tonnes en 1913, 800 tonnes en 1914; du café, 2.967.534 kilos en 1913, 2.721.012 kilos en 1914, ainsi que des bois d'acajou, palissandre et autres, dont on fait un commencement. d'exploitation dans la vallée du rio Do.ee, très riche en essences forestières. Des sables monazitiques l'industrie retire, entre autres minérais précieux, l'oxide de thorium, employé dans la fabrication des manchons à incandescence pour l'éclairage au gaz. Ils proviennent des longues et belles plages sablonneuses du littoral de Esprito Santo, jusqu'à la frontière de Bahia, et même au-dela. Leur exploitation industrielle, commencée quelque peu en cachette par l'ingénieur, américain ."John Gordon, n'a fait que progresser à mesure que se développait l'industrie des manchons Auer et que diminuait la valeur de ces articles dont l'emploi s'est, généralisé dans les proportions que nous savons. L'exportation de ces sables, dirigée en majeure partie vers l'Allemagne, qui réussit à garder quelque temps le secret de leur utilisation industrielle, était en moyenne de 4 à 5000 tonnes par année. Auparavant les sables étaient exportés tels quels, comme lest des navires afin de ne pas éveiller l'attention, tandis qu'en ces dernières années, ils subissaient. déjà une première opération sur place par l'élimination d'une partie du sable dont en extrayait, autant que possible la monazite et le zirconium. Quant aux bois, dont ces régions renferment une grande diversité d'essences, ils ne font plus guère l'objet d'une exportation quelque peu régulière. Et c'est regrettable, autant pour ces zones du. littoral que pour les autres du nord et du sud qui y trouveraient. des profits énormes et une renommée mondiale.Le fameux « pao brasil » a cessé lui-même d'être exporté, outre nier, bien entendu, depuis que la chimie a supplanté les teintures végétales. Dans le pays, il est employé pour la fabrication de traverses indestructibles et inusables pour rails. Qui sait si ce bois et beaucoup d'autres ne vont pas nous arriver tout préparés pour cet usage en remplacement de nos traverses de chemin de fer dont l'acier et le chêne trouveront après la guerre d'autres emplois plus urgents. [.es forêts du Brésil sont les plus vastes et les plus riches du monde par l'abondance et la variété des essences précieuses qu'elles renferment. Mais à part de Parana qui exploite assez bien celles de pins et, dans d'autres régions quelques autres essais, auxquels on poyrrait presque appliquer le qualificatif timide, on doit déclarer qu'elles ne sont guère exploitées et que cette grande source de richesses est quasi totalement perdue. Bien plus, ces forêts magnifiques sont sauvagement dévastées et par les compagnies qui construisent les voies ferrées, dans le but de se procurer sans frais, sur place, les traverses des rails et aussi le combustible pour les locomotives, et par les cnl-tnateurs eux-mêmes qui n'hésitent jamais, afin d étendre d'avantage leurs exploitations agricoles, a operer leurs défrichements au moyen de l'incendie de centaines, de milliers d'hectares de forets séculaires.(.e n est que depuis peu d'années que certains Etats ont mis en vigueur un code forestier dont on se soucie peu, tant il est d'application difficile au milieu de ces océans de verdure. Non seulement on n'exporte guère les bois, mais dans le pays mémo leur exploitation industrielle est de peu d'importance. Ils ne servent guère nous venons de le voir, que pour la fabrication de'traverses 11 n'y a pas beaucoup d'années que l'on n'importe plus d'Amérique des bois moins beaux pour rébénis--terie et la menuiserie, et même d'Europe ceux devant servir à la. fabrication des allumettes. Et on y importe toujours de 6 à 7000 tonnes de pâte, «le bois pour la fabrication du papier et. surtout des 3 ».ooo tonnes de papier pour journaux. Mais, qui sait? la guerre qui se continue bien au delà des limites que les plus pessimistes lui avaient assignées, aura peut-être obligé les industriels brésiliens a construire des fabriques de pâtes de bois, comme elle les a forçés à développer la production du charbon national, à créer de nombreuses fabriques de viandes frigorifiées, et à se passer de l'Europe pour nombre de produits qu'ils trouvaient plus facile d'importer autrefois, plutôt que d'exploiter les richesses naturelles de leur sol si admirablement fécond. Qui sait si nous ne verrons même pas reparaître les procédés anciens, abandonnés de l'art de teindre les étoffes au moyen d'extraits végétaux. En Amérique du sud, du moins, ils reviennent à l'étude et cette question y est. d'actualité. En effet : l'importation allemande de couleurs d'aniline et autres d'origine chimique qui avait pris une grande extension en ces dernières années, a cessé tout-a-fait dès le commencement de la guerre. En 1913 et 1914, le Brésil avait, reçu les quantités suivantes de produits tinctoriaux : 1913 1914 indigo kil. 361.411 220.131 couleurs en poudre » 2.264.714 1.204.574 aniline '. » 431.112 129.315 matières ou substances outres pour teinturerie et autres usages » 20.799.504 12.791.426 Le tout pour une valeur de 5.808 contos or, soit 16.555.000 francs la première année et 3.160 contos or ou 9.006.000 francs pendant les huit mois de la se conde. Le Département de l'Enseignement et Recherches Agricoles de l'Argentine chargea un de ses agronomes, Mr Jorge Fernandes d'etudier cette question et de vulgariser l'emploi des plantes qui, dans les régions éloignées des grands centres, servent encore pour teindre les étoffes. Il fit une intéressante ëaiumératioh des extraits de plantes et des procédés employés autrefois et même encore de nos jours dans la province chilienne del Sul-Estero. La même question se présentant pour le Brésil le « Jornal do Commercio », que nous avons déjà! cité plusieurs l'ois pai'mi nos moyens de documentation, attira il y a trois mois, l'attention de ses lec-i teuTs sur cette étude de l'agronome argentin et s'empressa de dire que le Brésil possède, lui aussi, quantité de plantes pouvant servir et ayant servi déjà à cet usage. La première place, nous semble-t-il, ne pourrait pas être disputée à ce pao brasil dont nous venons; d'avoir le nom sous la plume, à ce fameux bois brésil duquel le plus grand pays sud-américain reçut son nom. Lorsque Cabrai aborda en 1500 sur la côte qu'il venait de découvrir, il donna au pays, qu'il croyait être une île, le nom de Santa Cruz. Mais une expédition ultérieure, commandée par Americo Vespuce, : et qui arriva à Santa Cruz en 1504, rentra à Lisbonne chargée de-nombreux produits naturels de la. région et entre ailtres d'un bois précieux, de cou-, leur rouge, nommé brasil — du mot braza, braise. — Ce nom resta, définitivement au pays qui en produi sait de grandes quantités. Vespuce avait abordé j à l'endroit, qui devint plus tard Bahia. C'est en effet ? dans les profondes, forêts de cette contrée tropicale que. le bois brésil trouvait, son habitat de prédilection.Dans les temps coloniaux, et même plus tard, on fit un grand commerce de ce bois dont l'industrie de l'époque retirait une belle couleur rouge, remarquable par sa fixité, et très employée par la teinturerie. Mélangée à la chaux on à la cendre elle produisait une couleur noire. Il eut plus tard comme concurrent le bois de campêche et disparut ensuite du commerce d'exportation lorsque furent industrialisées les cou-leurs; d'aniline. Mais que l'on ne croie pas que ee sont seulement les forêts qui soient riches en essences de l'espèce.? On rencontre dans le Brésil tout entier nombre de plantes qui, au siècle dernier, faisaient l'objet d'une culture assez importante et fournissaient des substances tinctoriales très appréciées. Il nous suffira de citer la légu mineuse « anil » ou . indigotier, qui croit spontanément- dans toute l'Amazonie et dont à Pernambuco on exploitait 27 espèces' différentes. Elle était d'ailleurs cultivée partout et certaines provinces de l'Empire s'en faisaient une source de grands revenus. Certaines espèces d'anil contiennent jusqu'à 70 % d'indigotine et. un millier de feuilles en produisent 7 à 8 kilos. Or, on peut répéter la cueillette de oes feuilles jusque par trois i fois chaque année. A elles seules, les belles forêts du rio Doce, dans l'Etat de Espirito Santo et celles de la vallée du Sào Francisco arrosant les deux Etats de Bahia et Minas, abondent en essences, arbres, arbustes, plan-, tes et lianes, qui pourraient fournir à. l'industrie de la teinturerie toutes les couleurs do l'arc en ciel. Entreprendre leur i'.-.umération nous mènerait trop loin et fournirait une nomenclature par trop aride, composée de noms indigènes ou scientifiques. On la trouve d'ailleurs en nombre d'auteurs, entre autres dans le livre « Le Brésil, ses richesses naturelles et ses industries », publié il y a dix ans par le Centro . i.ndustria-1 do Brazil. Les missions de Propagande en Europe en ont distribué des exemplaires à toutes nos bibliothèques, publiques et particulières. Une partie assez importante de cet Etat deEspirito Santo effectue également ses exportations par le port de Rio Janeiro, auquel la relie le réseau de la Compagnie Leopoldina. (A SUIVRE). INFORMATIONS FINANCIERES BOURSE OFFICIEUSE D'ANVERS Nous ne publierons pas de Bulletin de la Bourse officieuse de fonds publics ni aujourd'hui mardi, ni demain. BOURSE OFFICIEUSE DE BRUXELLES séance nu 19 février. — La séance s'est incontestablement montrée beaucoup plus animée que celles fie jeudi et de vendredi dernier. Cependant, l'hésitation prédomine encore ; lês transactions ne parviennent que difficilement à s'effectuer — quand elles y parviennent, d'ailleurs, ce qui n'est pas toujours le cas — et on a à noter, comme on pourra le constater par la suite de cette chronique, des revirements dans- l'attitude et les dispositions de certaines valeurs. A ce point de vue surtout, cette séance fut intéressante, et on fera bien de suivre, très attentive ment, les fluctuations du marché pendant les quelques jours qui vont suivre. Ceci dit, passons à la revue des cours en commençant comme d'habitude par les rentes et lots de villes. Voici les cours faits : Rente belge 3 %, 71-71,50-72,75 ; Congo lots, 86 ; Anvers 1903, 72,25-72,50 ; Anvers 1887, 83,50-83,75 ; Bruxelles 1905, 70-70,25 ; Bruxelles 1902, 85,75-86 ; Liège 1897, 66,50 ; Liège 1905, 66 5 8-66 7/8. Notons qu'il y a argent à 88 en Ixelles 3 1/2 %. Le marché île nos obligations industrielles reste intéressant. On recherche toujours les Caisse des Propriétaires à des cours même supérieurs à ceux indiqués précédemment ; les 5 % Brugeoise à 485, les 5 % Bacarès jusque 470, et on fait 475 en Chemins de fer Economiques en Catalogne. Des demandes aussi en obligations 5 % Tramways et Electricité à 465. La faveur rencontrée par ces obligations émises tout récemment n'est pas faite pour étonner, si l'on considère que ces titres constituent au prix d'émission un placement au taux d'envi roa 5,-80 p. c., y compris la prime de remboursement. D'aûlre p-irt, la société n'ayant pas créé d'obligations jusqu'à ce jour, celles actuellement émises sont, en conséquence, garanties par tout l'actif social.En valeurs bancaires, les capital Crédit Général de Belgique restent actives à 117,50, 120, et la fondateur Crédit National Industriel est offerte à 4250. La Banque Belge pour l'Etranger est en reprise à 600, 605. Les changements de cours n'offrent guère d'impor-tanee eu valeurs de transports. On fait 36, 35,50 en dividende Buenos-Ayres, 125 en capital Espagne Electriques, 270 argent et 105 argent, respectivement en Madrid-Espagne privilégiée et ordinaire, 34,75, 34 en capital Murcie, 545 argent en capital Rails Electriques, 5 en ordinaire Société Belge de Tramways, 24,50. 24,75 en ordinaire Tramways et Electricité,'et il. 11,25 en dividende Vérone. Les transactions ne sont pas bien nombreuses au groupe sidérurgique, mais la plupart des cours sont eu bonne voie. On retrouve la capital Energie à 122, 123, 124, la privilégiée Estampage du Donetz à 345, la dividende à 490, 492,50, 495. la privilégiée Taretz-koïe à 825 papier, la capital Tôleries de Ivonstanti-uowka à 687.50, 685, et l'Union des Aciéries de 215 à 230. De l'irrégularité eu valeurs charbonnières. On note Amercœur à 2200, Carabinier à 770, 775, Charbonnages Belges capital à 400, 402,50, Espérance 'Bonne-Fort une à 750, Gosson à 2300, fondateur Bairak à 145 papier, Gouffre 1610, 1600, Grand-Buisson capi-î 1 '?350, jouissance 1725; Grand-Coi^ty 347,50, 350, 351,25, Grande Machine 1650, Grand Mambourg 75 argent; fonda leur Haauaut 235 papier, Houillères-Un Les 635, 640, La Louvien-Sars 220 , 218,75, Laura dividende 815, 820, Louetie 135, 137,50, Malréux 1630 argent, Maurage 2100 papier. Rieu-du Cœur 470, 480, Sacré-Madame 2350, Ouest de Mons 895, et Willem-Sophia 1120 à 1105. Peu de chose à dire des petites rubriques. La Bacarès est bien à 85, la Nébida reprend de 259 à 307,50, l'ordinaire Bennert Bivort est demandée, à 475, et la capital Electricité d'Odessa à 130. Au groupe enoutchoutier, il y a lieu de noter la reprise des Hévéa à 210, 212,50, 215, sur d'excellents achats. ; Voici quelques indications intéressantes venues de source autorisée sur la situation de cette Société, dont les affaires prennent une allure vraiment encourageante : < La Compagnie de l'Hévéa n'a pas, comme on vsait, de plantations propres. Elle prend des partiei pat ions dans des plantations de caoutchouc ou autres, en Extrême-Orient, apporte à celle-ci, contre certains avantages, son concours financier pour le développement des cultures, prépare elle-même des plantations pour les réplacer ultérieurement à d'autres groupements. Bref, elle joue un rôle de banque coloniale, qui lui permet de trouver pour ses capitaux un emploi très rémunérateur. Le rapport qui accompagne le dernier bilan a montré que toutes les affaires dans lesquelles la Société a pris des participations se sont développées suivant les prévisions et se trouvent, sans exception dans une situation qu'on peut dire brillante. Certaines d'entre elles, comme la Soengei Lipoet Cultuur Maatschappij, sont entrées dans la période de* rapports sérieux, et distribuent déjà des dividendes appréciables, dont les initiés estiment que l'importance peut encore tripler dans l'avenir. On fait remarquer à ce propos que le poste d'actions Soengei Lipoet qui se trouvent dans le portefeuille de l'Hévéa vaut •actuellement à lui seul environ les 2 millions formant le capital nominal de la Compagnie de l'Hévéa. D'autres participations importantes promettent de donner aussi de beaux résultats, dans un temps rapproché. Citons parmi les plus intéressantes celles que la Société a prises dans les Caoutchoucs de l'Indo-Chine, les Palmeraies de Mopoli, les Plantations Se-laiigor, Fauconnier et Postb, la Batangara Cultuur Maatschappij, les Plantations Telok-Dalam, Galang Besar, Deli Moeda, etc. Les cours des actions de toutes ces sociétés ont bé-néficé depuis un an d'une hausse considérable, et comme ces entreprises sont loin d'avoir atteint leur plein développement, on s'attend dans l'avenir à une plus-value sérieuse de la valeur du portefeuille de la Compagnie. Par suite des résultats acquis, on constate que l'actif net de la Société représente désormais 5 millions de francs, soit deux fois et demi le capital nominal, et l'on annonce que les bénéfices réalisés depuis le dernier bilan sont tels que les actionnaires peuvent espérer dès maintenant une majoration du dividende pour l'exercice en cours. Enfin, on dit qu'il entre dans l'intention des dirigeants de la Compagnie de l'Hévéa d'étendre encore l'activité de la Société, de façon à en faire un organisme financier puissant et capable de jouer un rôle prépondérant parmi les institutions de l'espèce. » La lava capital à 140, 141, et la fondateur à 700, 710 sont fermes, la capital Mopoli se soutient à 162,50, 161,25. 160, la Soengei-Lipoet est indécise à 455, 453,75, 456,25, 457,50. En fondateur Fauconnier, il y a argent à 300 et papier à 310. l.a part Kasaï à 63,50, 63,25 est soutenue, et la Sen-nah Rubber bouge peu à 65,25, 65,50, 65,75, 65,50. Les titres coloniaux sont assez calmes et manquent plutôt de résistance. L'Ordinaire Katanga à 2295, 2292,50 est stationna ire, les L icourt capital à 450, fondateur à '97,50, 505, 507.50 son' mieux, mais l'Union Minière capital est lourde à. 1425, 1420, 1425, et la dividende se maintient à 1375. En Tanganyika, on l'ait 73, 73.25. En valeurs diverses, les modifications de cours •sont peu intéressantes. La privilégiée, et l'ordinaire Auxiliaire Internationale de Chemins de fer font respectivement 280 argent et 125 argent. La privilégiée Cartoucheries Russo-Belges est à 131 argent, la jouissance Courroies Lecliat se retrouve à 322,50, 325, !e Grand Bazar Anspach bouge peu à 357,50, 360, et l'ordinaire Grosnyi est indécise à 2630, 2650. Les titres sucriers se soutiennent : Sucrière Européenne capital 84 , 84,50, fondateur 53, Sucreries de Pontelongo capital 575 argent, ordinaire 375 argent. Sucreries Saint-Jean capital 125, 126,25, et fondateur 180, 182,50. Les titres étrangers ont un marché assez 'étroit : Barcelona 70, 71, Chinois 4 p. c. 430 argent, Allot-ment capital 65. Lujar 760, 751,50, petite Prado 8, 8,25, Alaguir 200, et Kolomna en reprise de 700 à 717,50. Crédit Foncier de France. — L'émission de 600 millions de francs d'obligations 5 1/2 % de cette institution, se fait presque au pair comme suit : Un million de titres obligations Foncières, et un million d'obligations Communales, chacune de 300 fr. valeur nominale. Banque Internationale de Luxembourg. — Le Conseil de surveillance de cette société, dans une séance tenue tout récemment, a décidé de proposer pour l'exercice 1916, après des amortissements considérés comme importants, un dividende de 7 %. Eu 1915, !e dividende avait été abaissé de 7 1/2 à 5 °o, et l'année 1915 il avait été élevé à 5 1/2 %. Banque de Suède. — On annonce de Stockholm que les bénéfices de la Banque de Suède n'ont été en 1916 que de 6.487.000 couronnes contre 8.118.000 et 8.761.000 couronnes les deux années précédentes. Dividendes de Banques viennoises. — Le dividende de la Banque Anglo-Autrichienne pour 1916 est évalué à 10 % au lieu de 8 1/4 % pour 1915, et celui de Société d'Escompte à 11 1/2 °ô, contre 11 %. Banque d'Etat mexicaine. — Le gouvernement mexicain a fait mettre en liquidation la banque; mexicaine de l'Est, la banque de Queretaro ei la-Banco Mercantil à Vera-Cruz. Au cours du congrès tenu à Queretaro il a été dé-, « idé de créer une seule banque, qui serait banque i d'Etat et. qui s'occuperait de réorganiser les financés mexicaines. Stabilisation du couro du change au Portugal. Le journal « Opinao » annonce que le gouvernement portugais veut stabiliser le cours du change à 34-; 34 1/2. A cet. effet, il a l'intention de prendre la réserve or j de la Banque de Portugal et de lui remettre en', échange 72.000 obligations de la Société des Chemins-de fer portugaie. L'industrie du fer au Luxembourg. -- L'industrie sidérurgique du Grand-Duché de Luxembourg sem-, ble avoir souffert de la guerre. Les journaux viennent de publier les résultats de 1915 comparativement à ceux des années précédentes ; ceux de 1916 ne sont pas encore connus. L'extraction du minerai de fer dans les 85 •mines en exploitation dans le Grand-Duché s'est élevée à 6.130.434 tonnes, au lieu de 5.007.457 en 1914, et 7.333.372 en 1913. La production de la fonte a été de 1.590.773 tonnes, contre 1.827.270 en 1914, et 2.547.861 en 1913. Moscou-Kiew-Woronesch. - Le Conseil des ministres a accordé à cette compagnie de chemin de fer une subvention et des avances à 6 % pour un montant de 53 millions de roubles pour la construction de nouvelles lignes. memento de l'actionnaire ASSEMBLEES ANNONCEES 21 février Société anonyme pour l'Exploitation des Brevets Em. Lelong, à 10 h. du matin, à l'Hôtel Métropole, à Bruxelles. 22 février Association Commerciale et Financière, à Anvers, à 3 h. 1/4 de relevée, au siège social, rue Leys, 24, à Anvers. Société anonyme du Charbonnage du Carabinier, à midi, au siège de la Société Générale de Belgique, Montagne du Parc, 3, à Bruxelles. Filiale Belge-Néerlandaise d'Aluminium, société anonyme à Bruxelles, à 11 heures du matin, place Liedts, 24, à Bruxelles. Etablissements Céramiques et Carrières de Grès de Moustier, société anonyme, à 1 heure, au siège d'exploitation, à Mornimont lez-Moustier-sur-Sambre. 24 février « Vooruitzicht », société anonyme, à 5 heures de l'après-midi, au siège social, rue Gérard, 2, à Anvers. L'Essor Industriel et Commercial, société anonyme, à. 3 heures de relevée, au siège social, 34, rue du Lombard, à Bruxelles. Art et Luxe, société anonyme à Bruxelles, à 12 h., au Café des Boulevards, à Bruxelles. 25 février Syndicat agricole, société coopérative à' Landen, à 3 h. de l'après-midi, dans les bureaux de la société. 26 février Banque Nationale de Belgique, à 1 heure, en l'Hôtel de la Banque, rue du Bois Sauvage, à. Bruxelles. Banque d'Anvers, société anonyme, à 11 heures du matin, au siège social, 24, Longue rue Neuve, à Anvers. Banque Centrale du Limbourg, société anonyme, à 10 h., au siège social, Marché aux Avoines, à lïasselt. Société Nouvelle des Produits Emaillés et Etamés de Saint-Servais lez-Namur, société anonyme, à midi, au siège social, à Saint-Servais. 27 février Société Générale de Belgique, société anonyme? à midi, au siège social, Montagne du Parc, 3, à Bruxelles. i « Exçeisior », société anonyme L,ommerciaie, industrielle et Maritime, à Ostende, à 3 h- de relevée, au bureau, 4, rue des Tanneurs, à Anvers. Plantations Ilallet, société anonyme à Bruxelles, à 11 heures du matin, au siégé" social, 59, rue de Namur, à Bruxéllès. 3 mars Fonderies Anversolses, société anonyme, à 3 jy. de l'après-midi, en l'étude du notaire-De YVinter, Rempart Kipdorp, 21, à Anvers. SOCIETE ANONYME DU "LLOYD ANVERSOIS" Siège sooial : 14, rue Vletninckx, à Anvers AVIS Messieurs les Actionnaires sont informés que l'assemblée générale ordinaire qui devrait se tenir statutairement au siège social le mardi 6 mars 1917, ne pourra avoir lieu. Une assemblée générale sera convoquée aussitôt que les circonstances le permettront. Soc. An. de Remorquage à Hélice Siège social : 15, quai Jordaens, à Anvers Messieurs les actionnaires sont priés d'assister à l'assemblée générale ordinaire qui se tiendra, conformément aux statuts, le JEUDI lr MARS prochain, à 3 heures de relevée, au siège social. ORDRE DU JOUR : 1° Exposé de la situation ; 2° Nomination d'un administrateur et d'un commissaire.11 est rappelé aux actionnaires qui veulent assister à l'assemblée générale ordinaire, qu'ils doivent déposer leurs actions au plus tard jusqu'au 21 février inclus, à la Banque de l'Union Anversoise, Marché-aux-Grains, ou au Crédit Anversots, Courte rue de l'Hôpital, à Anvers. Société Anonyme pour le Peignage des Laines à ANVERS Conformément à l'art. 35 des statuts Messieurs les actionnaires sont convoqués pour l'assemblée générale ordinaire qui aura lieu le 1r mars 1917, à 3 h. 1/2 de relevée (heure officielle), au siège social, Longue rue Neuve, 66, à Anvers. ORDRE DU JOUR : 1° Approbation du bilan ; 2° Décharge aux administrateurs et au commissaire; 3A Nomination d'un administrateur et d'un commissaire, eu remplacement des membres sortants, rééligibles ; 4" Communications diverses. Messieurs les actionnaires seront admis à l'assemblée générale sur la production d'un certificat de dépôt de leurs actions, à déposer cinq jours avant l'assemblée générale au siège socia.1. Soc. Anon. des Horloges de Précision Système Normal Zeit) 5, rue des Serments, à Anvers Messieurs les actionnaires sont priés d'assister à l'assemblée générale ordinaire qui se tiendra à l'Hôtel Métropole, rue Leys, à Anvers, le JEUDI l>-MARS prochain, à 4 heures (H. C). ORDRE DU JOUR : 1° Rapport des Administrateurs et Commissaire; 2° Examen et approbation du bilan au 31 déc. 1916 ; 3° Décharge à donner aux Administrateurs et Commissaire ; 4° Nomination statutaire. Pour pouvoir assister à l'assemblée les titres devront. être déposés cinq jours francs avant la date de l'assemblée au domicile de l'Administrateur délégué, 1, place Fréd. de Mérode,- à Berchem-Anvers conformément à l'art, 21 des statuts. Comptoir Général d'Affrètements (anciennement Emile Vervliet) Société anonyme, à Anvers Messieurs les actionnaires sont priés d'assister à l'assemblée générale ordinaire qui aura lieu le MARDI 6 MARS 1917, à 7 heures (H. T.) du soir, au siège social, 120, rue de Naples, à Anvers. ORDRE DU JOUR : l" Rapports du Conseil d'administration et des commissaires;2> Approbation du bilan et du compte de profits et pertes ; * 3° Révocation éventuelle de certains administrateurs; 4° Décharge à donner aux administrateurs et aux commissaire* ; 5 1 Divers. Pour pouvoir assister à l'assemblée générale, Messieurs les actionnaires auront à se conformer à l'article 49 des statuts. Chantier Naval de Wiilebroeck Société anonyme, à Anvers Messieurs les actionnaires sont priés d'assister à l'assemblée générale ordinaire qui aura lieu le JEUDI 1r MARS 1917, à 7 heures (H. T.) du soir, au Siège social, 120, rue de Naples, à Anvers. ORDRE DU JOUR : 1° Rapports du Conseil d'Administration et du Commissaire ; 2° Approbation du Bilan et du Compte de Profits et Pertes ; 3° Décharge au Conseil d'administration et au Commissaire ; 4° Divers. • Pour pouvoir assister à l'assemblée générale, Messieurs les actionnaires doivent, cinq jours francs avant l'assemblée, avoir déposé leurs actions au siège de la société, conformément, à l'article 49 des statut».Le Leviathan Electrique En liquidation Messieurs les actionnaires sont convoqués à l'assemblée générale ordinaire qui aura lieu le MARDI 6 MARS 1917, à 11 heures, à Anvers, 104 Rempart des Béguines. ORDRE DU JOUR : Rapport du liquidateur. ' ANTWERP POLO CLUB Société Anonyme Il est, porte à la connaissance de MM. les actionnaires de la Société Anonyme « Antwerp Polo Club ». que l'assemblée générale ordinaire aura lieu le MARDI 6 MARS 1917, à 3 heures de relevée, chez MM. Bunge k Co, rue Arenberg, 21, à Anvers. ORDRE DU JOUR : 1°' Présentation de la situation de l'exercice 1916 ; 2° Décharge à donner aux Administrateurs et Commissaire.Pour assister à cette assemblée, MM. les actionnaires devront se conformer à l'art. 27 ries statuts.

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