Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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s.n. 1915, 20 Maart. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Geraadpleegd op 29 maart 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/rr1pg1jn43/
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aWVF.RS. Samedi 20 Mars 1915 Cina liante-huitième Année - No 17.263 [RESIION $> Rédaction '4't RUE VLEMINCKX, 14 ; ENVERS Téléphone : 3761 LLOYD ANVERSOIS Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires Annonces : 25 centimes la petite ligne. — 50 centimes la double ligne 1 franc la ligne sur double colonne. émission:: et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au li^nomètre. — Le» titres se paient d'après l'espace qu'ils occupent. Astronomie 21 mars Lever du soleil ^ h. 45 m. malin -= ( 5.45) Kaettl : : : : j : * : => = S,£qtrtoT23mars. 10 „ 48 „ soir leTavril . 8 | ^- 21U Nouvelle lune le !4 avril . . 11 „ 36 „ malin - (11.36 Haute marée à Anvers Matin So,r 21 mars 6 h. 30 m. = ( 6 h. 30) 6 h. 50 m - <»8 [•- 22 mars 7 h. 11 m. = I 7n.ll) 7 h. 35 m. . 'J.35) 23 mars 8 h. - m. = ( 81 -J 8 h. H m. = .201!. 15, Hauteur du Rhin Cologne 18 mars 3.50 m Strasbourg 18 mars -m Huningen .. 1-75 Laulerbourg „ Kelll .. 2 74 Maxan Mannheim .. 3.95 Germersheim „ .. rallh 19 3.06 „ Mayence „ 1.78 „ Kuhrorl .. 2.92 „ Bingen „ 2.60 Duisbourg 18 „ 2 87 .. Coblence 3.29 „ WalcWliit — » Dusseldorf „ 3 27 .. Lobilh .. 12.56 „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar Francfort 18 mats 2.63 m. Heilbronn 18 mars 1.79 m Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodensee Trêves 18 mars 1.50 m Constance 18 mars 3.- m Port d'Anvers ARRIVAGES DU 19 MARS Sféamer Telegraaf 2, de la Hollande. Riienus 25, de l'Allemagne Bateau-moteur Hoop in de Toekomst, de Hamme. 3 Gebroeders, de Bornhem. Op Gods Genade, de Baesrode. Scheldesiroom, de St. Amand. Eclair 4, de Bruxelles. Allège Vrouw Regina, de Doel. » Yvonne, de Burght. » Constantin, de Louvain. .. Prussien, de Mariemont. >. Olympia, de Liège. » Kroon van Vlaanderen, de la France. Constant Johan, de l'Allemagne. DEPARTS DU 19 MARS steamer Charbonnière 10, pour Willebroeck. Eugénie, pour la Hollande. Bateau-moteur 2 gebroeders, pour Bruxelles. » 4 Gebroeders, pour la Hollande.' Allège Stanislas, pour Calloo. ELEKTR1EK, pour Burght. >. Anna, pour Hoboken. » Lea, pour Hoboken. . | » Colette, pour Hainine. .Joseph Marie, pour Louvain. » Prudence, pour Bruxelles. » Le Français, pour Bruxelles. » Le Condor, pour Marchienne. » Porteur de Poids, pour Marchienne. » Bynland, pour la Hollande. » Ori.n'OCO, pour la Hollande. » Ide a al, pour l'Allemagne. .. Johanna, pour l'Allemagne. avis l.es vapeurs LESBOS et ï.lPSOS déchargeront leur cargaison très prochainement au N° 57/58 Bassin America. MM. les chargeurs sont priés de se présenter aux bureaux de l'agence Comptoir Levant & Méditerranée. Société Anonyme LU, HUE MOCHSTEXTEH. "ville dtanvers CONTRE LE CHOMAGE Pour lutter contre le chômage dans le port d'Anvers, l'administration communale a décidé d'entreprendre plusieurs grands travaux d'intérêt général. On a déjà commencé par faire peindre les toits des abris des docks et des quais. Une entreprise dè plus grande envergure promettant une occupation rémunératrice à ÔU00 hommes sera la continuation des travaux aux docks du canal Plusieurs centaines de r.iiOineurs seront en outre appelés pour la culture des pommes de terre sur les terrains communaux, derrière le Parc aux Bossignols. arrêté Mesures d'exécution concernant l'arrêté du 16 janvier 1915, établissant un impôt à charge des absents. (Bulletin officiel des lois et arrêtés, n° 33, p. 115-116) S 1. — Les administrations communales dressent d'urgence un rôle comprenant les habitants belges tle leur commune, qui sont nominativement imposes pour 1914 au profit de l'Etat à une contribution personnelle supérieure au taux indiqué à l'article 2, 1er alinéa, de l'arrêté et qui n'ont pas réintégré leur domicile belge avant le 1er mars 1915. Le rôle comprend les colonnes suivantes : 1. Numéro d'ordre ; 2. noms et prénoms des contribuables absents ; domicile (rue et n°) ; 4. montant de la contribution personnelle en principal et additionnels au profit de l'Etat pour 1914 ; 5. date du départ pour l'étranger ; 6. motiis — en résumé — du départ, si celui-ci n'a pas été volontaire ; 7. montant de l'impôt additionnel extraordinaire ; 8. émargement : numéro du journal ; sommes payées ; 9. observations. Les colonnes 7 et S sont remplies par le receveur des contributions. § 2. — Les dispositions suivantes sont à observer iors de la confection du rôle : 1° Un retour simplement passager, qui ne résulte pas visiblement de l'intention de séjourner d'une manière durable, ne peut être considéré comme une réintégration de domicile dans le sens de l'article 1er, 1er alinéa, de l'arrêté ; 2° La population à considérer conformément à l'article 2, 1er alinéa, de l'arrêté est celle constatée par le recensement décennal au 31 décembre 1910 ; 3° En cas de possession de plusieurs domiciles dans le pays, la population à envisager est celle du lieu du domicile principal et, dans le doute, celle du domicile d'hiver. § 3. — Ne sont pas considérés comme volontairement absents et ne sont par conséquent pas portés au rôle, notamment : a) les militaires et les agents de l'Etat qui furent contraints, de par leurs fonctions, de quitter la Belgique ; b) les Belges qui sont retenus prisonniers ou qui ont été obligés de quitter leur habitation ; c) les contribuables dont les demeures sont détruites, inhabitables, ou occupées complètement par des militaires ou des agents civils.Ces contribuables sont inscrits dans une liste spéciale qui est annexée au rôle. § Les rôles et listes dressés conformément aux §§ 1er et 3 sont transmis au plus tard le 15 mars 1915, par les administrations communales aux rece veurs des contributions coinjiétents ; éventuellement, ceux-ci recueillent les renseignements qu'ils jugent nécessaires et complètent les rôles en conséquence. S 5. — La commission chargée de l'examen des déclarations à la contribution personnelle, conformément à l'article 79 de la loi du 28 juin 1822, décide après examen des rôles et listes, si les conditions auxquelles l'article 1er de l'arrêté subordonne l'imposition, sont remplies. Dans l'affirmative, le receveur porte au rôle le montant de l'impôt à percevoir : si celui-ci n'est pas dû, la commission en indique les motifs dans la colonne aux observations. II est à considérer en général que des motifs d'ordre personnel n'excusent pas Je séjour à l'étranger et qu'il lie peut de ce chef être accordé exonération de l'impôt, qui est. établi spécialement dans l'intérêt des Belges restés dans le pays. § 6. — Le 1er avril 1915 au plus tard, le receveur des contributions transmet le rôle, aux fins d'exécutoire, au directeur provincial des contributions. Les dispositions relatives à la notification, aux recours et au recouvrement en matière de contribution personnelle sont applicables clans l'espèce ; toutefois, les réclamations doivent être présentées dans les trois mois qui suivent la notification de l'imposition. La réclamation ne suspend pas le payement de l'impôt. .§ 7. — Les requêtes en exonération de l'impôt présentées, pour raisons d'équité, conformément à l'article 2, 2e alinéa de l'arrêté, doivent être adressées, dûment motivées-, au président de l'administration civile de la province où la cotisation est établie, dans le délai stipulé au paragraphe précédent. Le président de l'administration civile s'assure le plus tôt possible, par l'intermédiaire du commis saire pour la douane et les impôts, si le requérant est encore redevable d'impôts directs pour 1914. Dans l'affirmative, il fait connaître au pétitionnaire que la demande en exonération de l'impôt sur les absents ne sera examinée qu'après que les contributions restées en souffrance auront été payées et lui donne connaissance du montant de ces contributions.S'il n'est pas dû de contributions arriérées, le président de l'administration civile examine les arguments invoqués en entendant, au besoin, l'administration communale ou le receveur des contributions et, pour autant que la requête paraisse fondée, il accorde provisoirement un délai jjour le payement de l'impôt. Il soumet ensuite- la requête avec son avis motivé au chef de l'administration civile qui statue. § 8. — Si des circonstances particulières telles qu'une maladie ou le défaut de moyens de transport ont empêché le retour en temps voulu, le chef de l'administration civile peut prolonger le délai, pour le retour et faire surseoir entreteinps au recouvrement de l'impôt. Bruxelles, le 22 février 1915. Pour le chef de l'administration près le Gouverneur général en Belgique, Mghlhorn, ' Conseiller intime supérieur de Régence. Notes de jurisprudence belge LA QUESTION DES LOYERS On avait prévu pour jeudi dernier le fonctionnement du tribunal d'arbitrage. On a dû constater malheureusement que celui-ci reste, pour le moment invisible. On nous le promet maintenant pour la fin du mois. En attendant le tribunal civil continue de juger des affaires de loyers, tant qu'on veut. Un grand nombre de magistrats persistent à croire que l'esprit de l'arrêté de Mr le Colonel-Général von Bissing est que la compétence des tribunaux d'arbitrage sera restreinte aux affaires dont la valeur n'atteint qu'un certain montant, et que les tribunaux de première instance auront à connaître, connue par le passé, de toutes les autres. Le bruit courait dès jeudi matin que le nouvel arrêté allemand sur la matière, et qu'on attendait depuis plusieurs jours, est sur le point d'être publié.CREANCES HYPOTHECAIRES Sous ce titre, nous avons publié dans le numéro du 14-15 courant du Lloyd Anversois un aperçu au sujet d'une question fort intéressante, et dont plusieurs de nos confrères s'entretiennent à leur tour. Nous avons nous-mêmes reçu mainte approbation du principe de nos observations. Nous avons relaté impartialement l'avis d'un journal qui préconisait l'attribution aux tribunaux d'arbitrage en formation de l'examen des affaires de créances hypothécaires. Nous avons reçu communication de l'avis d'un bomine de loi qui formule l'opinion que la question est des plus simples à résoudre par la voie ordinaire. I! ne faut pas songer, dit-il en substance, à soumettre les contestations relatives aux créances hypothécaires aux Conseils d'arbitrage créés récemment pour statuer en matière de baux et fermages. Ce n'est pas le lieu de discuter ici l'institution des Conseils d'arbitrage. En admettant que ceux-ci s'occupent utilement des questions • en payement de loyers et de fermages, où il s'agit d'accorder ou non ;iu propriétaire un titre contre son locataire, un jugement de condamnation à payer telle ou telle somme, il en est tout autrement en matière d'hypothèques où le titre existe déjà : c'est l'acte notarié, qui constate la créance, acte authentique et en forme exécutoire. L'examen des contestations sur l'exécution d'un titre a toujours été réservé par nos lois aux tribunaux civils de première instance, à l'exclusion des juges de paix, des tribunaux consulaires, etc. Comment voudrait-on l'attribuer à ce" nouveau tribunal d'exception et d'occasion. Puis, voit-on bien ce tribunal, composé d'un seul jurisconsulte et de deux citoyens la plupart du temps complètement étranger à tout principe, à toute argutie de droit, s'occuper de toutes les questions de droit et de fait que peut soulever l'exécution d'un titre hypothécaire? Rien que le simple énoncé des difficultés qui peuvent se présenter, des nullités, des péremptions, etc., qui peuvent .être invoquées dans certains cas, rend la chose impossible. La loi de 1854 qui régit la matière est d'une grande complication, émaillée de dispositions élaborées avec un soin minutieux, pour sauvegarder- les intérêts des débiteurs, des créanciers, des tiers. Voit-on les arbitres se débrouiller dans tout cela, surtout, — circonstance aggravante, — sans le concours d'avocats... à moins qu'on ne veuille faire table rase de toute la loi du 15 août 1854, au grand dam de tous les intéressés... Mais, conclut l'homme de loi, il n'est pas besoin de chercher si loin le remède. Aucune innovation n'est nécessaire pour l'instituer. Le remède est là, à notre portée, dans l'art. 1244 du Code civil, qui stipule que les juges peuvent, le cas échéant, 'accorder des délais modérés de payement et surseoir à l'exécution des poursuites, toutes choses demeurant en état. Nous voyons si souvent les tribunaux, de commerce surtout, user de cette disposition. L'arrêté royal du 4 août 1914 l'a, du reste, rendue applicable pendant la durée de la guerre, en tout état de cause et en toutes matières civiles et commerciales. En cas d'urgence, le président du tribunal statue par voie de référé. Donc, si un débiteur hypothécaire est momentanément dans l'impossibilité d'acquitter ses intérêts à l'échéance, il n'a qu'à demander des délais, délais ([ne le juge de référé — juridiction très peu coûteuse, — lui accordera suivant sa situation. La bourse industrielle à Bruxelles Nous avons annoncé que la Société nationale des Chemins de fer vicinaux allait confier à notre industrie la construction d'un petit pont à établir dans le voisinage de la frontière hollandaise. 11 s'agit d'un pont de 37 mètres. C'est aux Laminoirs Boél que l'on a confié l'affaire. Ils lamineront les matières et chargeront de la construction du pont deux-ateliers de la province du Hainaut. Les autres laminoirs se préoccupent toujours de la vente des stocks qu'ils ont, soit dans leurs parcs, soit, sur les quais d'Anvers d'où ils envisagent la possibilité d'en caser une partie en Hollande. Pour les lots d'aciers marchands en bon état et faciles à manutentionner, les prix (départ) restent à 14 francs base environ. La tôle, plus demandée et plus rare, maintient son prix de 15 francs moyen. Le Comptoir des Aciéries maintient ferme ses prix de frs 15,75 pour les poutrelles. Les mitrailles réunies par quelques spéculateurs sont abondantes ; elles donnent lien à quelques transactions pour les besoins de certains mouleurs d'acier qui peuvent, de temps en temps, remettre leurs fours en marche quand une somme de petites commandes forme un tonnage suffisant. Les zones maritimes interdites Règles applicables à ces zones. De leurs différences avec le blocus. — Des droits et des devoirs des nations neutres. La délimitation de la zone maritime, interdite par l'Allemagne à partir du 18 février dernier, soulève, à la vérité, des questions nouvelles qui ne peuvent trouver leur solution que dans les règles, déjà consacrées en ce qui regarde les effets du blocus à l'égard des navires neutres et des navires appartenant à la nation ennemie et à ses alliés. Il y a lieu, cependant, de remarquer que l'assimilation avec le blocus n'est pas complète. Il existe une différence essentielle. C'est que le blocus n'est considéré comme valable et obligatoire, pour attribuer aux belligérants les droits qui en résultent, d'après les lois et les coutumes de la guerre, non seulement à l'égard de l'ennemi, mais même à l'égard des neutres, avec la faculté, en cas de violation, de leur appliquer des sanctions pénales que lorsqu'il est légalement établi, c'est-à-dire, réel et effectif. Or, il n'est tel que lorsque tous les navires, composant l'escadre de blocus, stationnent d'une façon permanente de manière à former un arc de cercle en avant du port ou de la côte bloqués, et à rendre, suivant toute probabilité, impossible à un navire de franchir la ligne de blocus sans s'exposer à de graves dangers et à un péril imminent en passant sous le feu des canons des navires stationna ires. L'interdiction de la zone maritime, entourant les côtes anglaises, vise moins l'investissement par des navires, composant une escadre de guerre que par l'action des sous-marins, destinés à faire sauter les navires qui s'aventureraient à vouloir forcer la ligne de blocus. Néanmoins, en l'absence de principes décisifs, il est permis de s'en référer aux règles admises en matière de blocus, avec les 4ivei'oences 4^ la nature des deux espèces de mesures impose. C'est ainsi que le placement des mines automatiques doit être regardé comme une réalisation effective suffisante de la mesure d'investissement. D'autant plus que la prohibition a fait l'objet d'une notification diplomatique, rendue publique et signifiée à loutes les puissances. L'interdit jeté sur la côte anglaise par l'Allemagne, n'est donc sujet, ni à équivoque ni à discussion. Or, le belligérant qui entend bloquer un port, ou une côte, ou une zone de mer, doit, non seulement notifier par voie diplomatique son intention à ce sujet, indiquer nettement les ports de la côte, ainsi que les zones maritimes qu'il entend bloquer, et préciser le jour où l'investissement sera pratiqué ; mais il doit accorder aux navires' neutres un délai raisonnable pour terminer les opérations de commerce en cours dans les lieux bloqués et pour en sortir en toute sécurité. En matière de blocus on exige, pour la régularité de la mesure, qu'une notification spéciale, ou une déclaration soit faite par le commandant de l'escadre de blocus, ou par un officier qui eu a le pouvoir, au capitaine ou au patron du navire neutre qui se dirige vers le port, la côte ou la zone bloquée, et en veut forcer les lignes. Le blocus n'est considéré comme existant, de façon à produire tous ses effets juridiques, à l'égard de tout navire qui se dirige Vers les localités et les zones bloquées ou qui veut s'en éloigner qu'après la notification spéciale que nous avons indiquée et qu'à partir du moment où cette notification aura été inscrite sur les livres de bord. Il résulte de la nature des choses que cette notification n'a point de raison d'être dans le cas où la lutte est sous-marine. Elle deviendrait cependant. nécessaire pour le cas où un navire allemand ferait la rencontre d'un navire marchand neutre dans la zone maritime interdite. Mais (tes que toutes les conditions requises pour la validité du blocus ou de l'interdiction ont été remplies et que la notification de l'investissement a été faite régulièrement, par la voie diplomatique, les navires neutres, qui entendent observer les devoirs de la neutralité, sont obligés de reconnaître tous les effets qui résultent du blocus, ou dé l'interdiction, suivant les principes du droit de la guerre. Ils doivent s'abstenir d'une façon absolue de se diriger vers le port, la côte et la zone bloqués, ou de s'en éloigner, en forçant la ligne d'investissement, sous la peine d'encourir en cas de violation les sanctions pénales établies par le droit international. Or, cette sanction pénale consiste en ce que le belligérant qui a édicté l'investissement ou le blocus, possède le droit non seulement de saisir tout navire marchand, quel qu'en soit le propriétaire qui a tenté de violer le blocus où l'a violé et qui a été pris par lui en flagrant délit., mais il possède même le droit de confisquer, et le navire, et la. cargaison qu'il porte, quels qu'en soieni les propriétaires el quelle qu'en soit la nature, à la condition formelle que la juridiction compétente ait décidé que le navire saisi était réellement coupable de violation du blocus, ou de tentative de violation, alors qu'il avait été pris en flagrant délit et capturé. 11 y a lieu néanmoins de remarquer que l'interdiction de la zone maritime anglaise par l'Allemagne, en ce qui regarde la circulation des navires appartenant aux nations neutres, ne paraît pas être absolue et impliquer défense absolue de naviguer dans les eaux défendues. Elle' signifie seulement que les navires neutres ne pourront s'aventurer dans les eaux indiqées qu'à leurs risques et périls, sous la réserve de l'exercice du droit de visite et de la faculté ultérieure de saisie et de confiscation en cas de transport de contrebande de guerre, conformément aux règles tracées et à la procédure édictée par les règles de droit international. Il est probable d'ailleurs, et presque certain, que ces questions seront élucidées et fixées non seulement par les tribunaux spéciaux des prises, instituées par chacun des Etats belligérants, mais par la Cour internationale des prises dont l'organisation et le fonctionnement ont été arrêtés par la douzième Convention de l'Acte général de La Haye du 18 octobre 1907 et qui porte la date du 30 juin 1908. Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES, ETC. Atlanta. — Londres, 17 mars. — Le steamer Atlanta a été torpillé dimanche dernier devant la côte occidentale de l'Irlande. Bologna. — Willemstad, 17 mars. — Le steamer Bologna, qui était échoué le 12 janvier sur la côte Nord de Curaçao, a été renfloué et a continué son voyage. Voir Lloyd Anversois du 19 février.) City of York. — Amsterdam, 17 mars. — Sur le rivage de l'île d'Ameland, située au nord de la Hollande s'est échoué un. canot portant l'inscription City oi York. On a trouvé également sur cette côte plusieurs sacs portant la même inscription. Il s'agit vraisemblablement d'un des canots d'un vapeur anglais coulé. Corinthic. — Londres, 18 mars. — On mande des Bermudes que le vapeur Ariosto y est arrivé ayant à sa traîne le steamer Corinthic qui était porté depuis longtemps sur le marché des réassurances. Le Corinthic, qui se rendait de Hull à New-York, a été pris à la remorque le 27 février, au milieu de l'Océan Atlantique. Il avait perdu l'hélice. (Voir Lloyd Anversois du 15 courant.) J. N. Madvig. — Babia, 16 mars. - Lé steamer .). N. Madvig, allant de La Plata en Europe, a. heurté le 11 courant, près du Cap Sao Thomé, un objet inconnu. On croit que le vapeur a encouru de légères avaries près la chambre des machines et on est en pourparlers pour le faire visiter par un scaphandrier.Laura. Rotterdam, 18 mars. — On mande de Londres que le. steamer néerl. Laura, qui était entré à St. Michael's avec des avaries, a continué son voyage pour Philadelphie le 16 courant, après avoir subi des réparations. (Voir Lloyd Anversois du 8 courant.) Middleton. — Le Havre, 17 mars. — Le steamer Middleton a été en collision avec le vapeur suédois Malcolm. La voie d'eau que le Middleton avait contracté dans la cale N° 2, a été bouchée par des scaphandriers. Le vapeur partira demain pour Rouen. Pass of Balmaha. — Blême, 16 mars. — La station de sauvetage de Westerland a sauvé 7 hommes du 3-mâts américain Pass of Balmaha, qui a échoué près de Sylt. (Voir Lloyd Anversois du 18 courant). Navires perdus Les vapeurs Borrowdale et Oriole ainsi que le voilier Engelhorn sont considérés comme perdus. Le Borrowdale avait quitté Cardiff le 21 janvier pour Granville ; le Oriole. était parti le 29 janvier de Londres p'our Le Havre, et le Engelhorn le 26 août 1914 de Valparaiso pour Falmouth. Navire sans nouvelles Le steamer Baron Driessen, que nous avons renseigné sous le susdit titre dans notre numéro du 18 courant, est arrivé à Vladivostock. Ce vapeur avait quitté Savannah le 6 janvier et avait été réassuré à 15 gns. Navire saisi Hei.singborg, 16 mars. —. Le vapeur Gloria, de Helsingborg, a été arrêté par des navires de guerre allemands et conduit par eux à Swinemùnde pour y subir une visite minutieuse. Le navire, chargé de maïs, faisait route de La Plata à Stockholm. Le steamer " Macedonia on mande de Las Palmas que le vapeur Macedonia, de la Hamburg Amerika Linie, qui y était interné, a quitté le port en cachette. Port de Louvain Louvain, 18 mars. — C'est le calme et l'inactivité qui règne dans le port. Les beurts ont un chargement, régulier. Le trafic des marchandises aux gares a sensiblement diminué. Le commerce dans son ensemble est nul. Le réapprovisionnement belge en pétrole Le Comité de secours américain a fait récemment auprès du gouvernement anglais, de nouvelles tentatives pour obtenir le libre passage en Belgique, des quantités de pétrole nécessaires, pour assurer aux populations urbaines et rurales, la possibilité d'éclairer leurs demeures et aux communes d'assurer l'éclairage des artères de circulation. Les autorités allemandes en Belgique avaient offert pour ces importations, les mêmes garanties que pour les vivres importés actuellement d'Amérique. Elles prenaient l'engagement que le pétrole importé de la sorte ne serait, ni expédié en Allemagne, ni utilisé pour les besoins de l'armée, et elles concédaient au Comité américain, — de même que pour la. farine, — le droit de surveillance, jusqu'au consommateur. Le gouvernement anglais n'a pas accédé à cette demande et a maintenu ses refus antérieurs. Le gouvernement hollandais, pressenti également, a déclaré ne pouvoir, malgré le désir qu'il en avait, permettre l'exportation du pétrole de Hollande en Belgique, le gouvernement anglais l'ayant menacé d'arrêter l'approvisionnement en pétrole de la Hollande, même si celle-ci n'en autorisait l'exportation qu'en Belgique. 1 On se rappelle que les stocks de pétrole existant à Anvers ont été incendiés la veille de la reddition de la place. Ces stocks s'élevaient à environ 15.000.000 de litres. En ce moment, la Belgique est presque dépourvue de ce précieux liquide. Le coût actuel d'un litre de pétrole s'élève à. fr. 1,10. Par suite de la rareté du pétrole, un nouveau commerce a surgi, c'est celui du carbure qui est employé actuellement en grande quantité pour l'éclairage des appartements, magasins, caves etc. I^i boîte de carbure brûle pendant environ 8 jours et ne coûte que fr. 0,60. Un chemin de fer électrique en Suède Au début de cette année un événement a eu lieu dans le domaine de l'éleetrotechnique lequel est passé pour ainsi dire inaperçu à cause des circonstances actuelles, mais qui mérite cependant de fixer l'attention vu son importance pour le développement des chemins de fer . électriques. Sur le" parcours du chemin de fer Kiruna-Riks-grânsen, long de 100 kilomètres des chemins de fer royaux de Suède, on a organisé depuis le 19 janvier dernier un service de trains réguliers à Joco-motion électrique. Sur ce p < c airs on a utilisé pour la première fois en Europe des trains électriques d'un poids par train de 2000 tonnes. L'exploitation a lieu dans des conditions difficiles. Le point de départ de la ligne est situé à 140 kilomètres au Nord du cercle polaire. Elle est à présent la ligne la plus'rapproc' ée du pôle de tout l'univers. Il y règne pour ainsi <!ir ■ constamment un vrai climat polaire. A côté des dégrés de froid de 35° sous zéro. Ou y a à décompter avec des tempêtes qui ont pour suite de fortes chutes de neige. Nonobstant ces difficultés le service s'est continué sans interruptions ni acroes pendant le courant des dernières semaines. Ce chemin de fer a été construit principalement pour transporter les riches minerais du Lapland jusqu'au port norvégien Narvik lequel est libre de glaces. Les trains de minerai se composent, de 40 wagons lourds brut à minerai lesquels pèsent chacun 46 tonnes quand ils.sont chargés. Ils transportent le minerai rassemblé à. Kirunavaara, près de Kiruna, jusqu'à la frontière norvégienne, et de là a Narvik, à l'Océan Atlantique. Les deux locomotives d'un train à minerais ont une longueur totale de 37 mètres. Leur plus grande force de traction aux crochets de jonction du train s'élève à environ 40 kilogrammes. En dehors des trains à minerais et à voyageurs il y a un départ journalier d'un train express dans chaque direction, lequel forme un embranchement du « Nordland express», entre Stockholm et Narvik. Le courant électrique nécessaire à l'exploitation du chemin de fer est fourni-par une station motrice ou usine construite à la cascade de Porjus dans laquelle on fabrique une force utilisable à la ligne d'environ 40.000 HP. L'usine est éloignée de 250 kilomètres du point extrême de la ligne. Le courant continu d'une tension de 80.000 volts est dirigé vers la ligne en câbles visibles, c'est-à-dire non isolés, jusqu'aux sous-stations qui sont échellonnées le long de la voie et qui transforment ce courant au point de le rendre propre à l'usage des locomo-t i ves. La ligne avait été exploitée jadis à la vapeur et l'importation de la traction électrique procure à l'Etat une économie notable, car la. Suède ne possède que peu fie charbons. Elle doit s'approvisionner pour la plus grande--parl ie à l'étranger. L'exploitation des chutes d'eau et cascades ou houille blanche, qui abondent, es! de grande importance pour les chemins de fer électriques. En dehors de cela, la traction électrique est encore supérieure à la traction à vapeur en permettant la création de trains de 40 % plus lourds et une augmentation de vitesse de 50 %. Toutes ces améliorations permettent après introduction de la nouvelle force motrice une augmentation de 70 % sur le transport de minerai ; donc un facteur important, car l'exportation du minerai de fer contribue pour une large part au budget de la Suède. Ce succès de l'électrotèchnique est particulièrement intéressant pour l'Allemagne, vu que la ligne a été construite par une firme d'électricité (firme de constructions électriques) allemande, les Siemens & Schuckertwerkè associée à la firme suédoise All-mânna Svenska. Renseignements commerciaux Le commerce des appareils de chauffage dans la région d'Alep Turquie d'Asie). — La vente de poêles s'accroît d'année en année dans la région d'Alep. 11 est à remarquer que les prix du pétrole sont très élevés dans cette région et, par suite, les poêles en faïence -et les poêles métalliques paraissent devoir trouver de meilleurs débouches que les appareils de ciiauffage au pétrole. Les importations de cordes et cordages dans le vilayet d'Aïdin (Turquie d'Asie). — La majorité des cordes et cordages employés dans le vilayet d'Aïdin est importée de -l-'étrangert L'importation atteint 124.866 kilog., provenant principalement de Belgique et de France. On demande surtout, dans cette région, les cordages goudronnés en manille et sisal qui sont très appréciés par la clientèle. Les prix s'entendent toujours coût, fret et assurances Smyrne. Les importations de matériaux de construction en République Argentine. — L'industrie du bâtiment s'est développée d'une façon particulièrement intense à. Buenos-Ayres ; cependant la proportion des maisons à plusieurs étages ne représente encore, actuellement, que 7 pour cent du total des propriétés bâties. Aussi, les constructions basses disparaissent-elles rapidement du centre commercial de la cité, où, dans un rayon de deux kilomètres, le terrain vaut de 1000 à 2000 francs la vare carrée (0ni2 7396).. On voit déjà, à Buenos-Ayres, des édifices de rapport à 15 étages. La plupart des immeubles construits en~ ces dernières années se composent d'une charpente métallique habillée de briques ou de béton armé. Lés façades et les murs mitoyens se font presque toujours en briques posées sur champ. Le marbre blanc et de couleur abonde dans la décoration intérieure. Les escaliers sont ordinairement construits en dalles de marbre blanc posées sur une couche de béton armé. Presque toutes les façades sont enduites d'un ciment clair à prise rapide, connu sur place sous le nom de « cemento fulminante ». Les boiseries intérieures se font en bois dur du pays et assez fréquemment en bois importé de Suède. Ce pays et l'Autriche envoient même de la menuiserie tout achevée. Les hôtels du quartier riche se distinguent par le grand luxe des moindres détails de leur construction.Voici, en francs, les prix auxquels se vendent à Buenos-Ayres les principaux matériaux de construction, placement non compris : sable, 15 francs le mètre cube; carreaux émaillés, de 15x15 centimètres, 20 francs le cent ; briques mécaniques, 110 francs le mille ; briques moulées, 40 francs le mille ; ciment 1er choix, 18 francs le baril de 180 kilog. ; carreaux céramiques, 15x15 centimètres, 250 francs le mille ; verre double (posé), 8 francs le mètre carré ; chaux hydraulique importée, 130 francs la tonne ; chaux du pays, 100 francs la tonne. Le commerce d'importation et d'exportation de Paierme (Italie). — Importations. — Palerme reçoit de l'étranger : des blés, des charbons, des bois de construction, du tabac en feuilles, des bœufs, des peaux préparées, du fer ouvré, du café, de l'oléine (utilisée pour la fabrication du savon), de l'avoine, des tissus de laine, du sulfate d'amoniaque, des conserves de poissons, des légumes secs, des œufs, des instruments de précision, des machines à coudre.L'évaluation de chacun de ces articles représente plus d'un 1/2 million de lire, et pour quelques-uns, par exemple les charbons, elle dépasse 5 millions. Les principaux pays importateurs sont, par ordre d'importance : Grande-Bretagne, 12 millions de lire ; Autriche-Hongrie, : millions; Russie, 7 millions; Etats-Unis 6 1/2 millions; Roumanie, près de 6 millions : Allemagne, environ 5 millions ; Tunisie et France ensemble, 7 millions environ ; Belgique, 2 millions. Exportation. — Parmi les produits du sol qui constituent, pour la province de Païenne, une source de richesses, il faut placer en première ligne les citrons, Elle en exporte pour une valeur approxima tive de 12 millions de lire, surtout en Amérique. Ses autres»expéditions, dont l'ensemble est évalué à près de 50 millions, comprennent : des conserves de tomates, des amandes sèches, de l'huile d'olive, des oranges, de la lie de vin, du tartre, de la manne, du nitrate de chaux, des conserves diverses, des pâtes alimentaires, du soufre, des noix et noisettes (coin merce très important), du sumac moulu ou en feuilles, des cheveux bruts. Ses meilleurs clients sont de beaucoup les Etats-Unis, qui achètent pour plus de 25 millions d'articles, en particulier des citrons et des produits alimentaires. Viennent ensuite la Grande-Bretagne (8 millions) ; la France (près de S millions) ; l'AUema gne (5 1/2 millions) et l'Argentine (3 millions). Service postal Désignation des bureaux de poste qui acceptent la correspondance en Belgique. (Suite. — Voir notre numéro d'hier) — C — Calmpthout (Anvers 1), Cambron-St-Vincenl (Lens, prov. du Hainaut), **Campenhout (Bruxelles 1), C.ap-pelle-au-Bois (Malines), Cappellen (Anvers 1), Carls-bourg (Libramont), Carnières (La Louvière), Casteâu (Mons 1), »*Castre (Lennick-St-Quentin), Cerfontaine (Mariembourg), **Chaineux (Verviers), Champion (Namur 1), Champion (Marche), Chapelle-à-Wattines (Ath 1), Chapelle-lez-Herlaimont (La Louvière), Cha-pon-Seraing (Huy 1), Charleroi 1. bur. centr., Charleroi 2, (gare princ.), Chassart (Charleroi 1), Chastre-Villeroux (Gembloux), Châtelineaj (Charleroi I), **Chaudfontaine (Liège 1), Chaumont-Gistoux (Wa-vi'e), Chaussée-N.-D.-Louvignies (Casteau), **Chêuée (Liège 1), Cherain (Bastogne), **Cheratte (Liège 1), Chevetogne (Ciney), Chièvres (Ath 1), Chimay, Ciney (Namur 1), Clavier (Huy 1), Cognelée (Namur 1), ^•Cointe (Ougrée), **Comblain-au-Pont (Liège 1), **Comblain-laTour (Comblain-au-Pont), Gontich (Anvers 1), Corbeek-Loo (Louvain 1), Corbion (Libramont), Corroy-le-Château (Gembloux), Corroy-le-Grand (Ottignies), Cortenberg (Louvain 1), Couillet (Charleroi 1), Courcelles (Charleroi 1), Courrière (As-sesse), Courcel (Hasselt), •Courtrai, Court-Saint-Etienne (Ottignies), Couthuin (Huy 1), Couvin (Ma-riembourg), Cronfestu (La Louvière), Cruybeke (Anvers 1), Cuesmes (Mons 1), Cugnon (Libramont), Cul-des-Sarts (Mariembourg), Cumptich (Tirlemont 1), "•Cureghem (Bruxelles 1). — D — **1) allie m (Liège 1), Dampremy (Charleroi 1), Dave Namur 1), Deurne (Anvers 1), Deux-Acren (Mons 1 , **Dieghem (Bruxelles 1), Diepenbeek (Hasselt), Diest, Dinant, **Dison (Verviers), Doische (Givet)", **l)ol-hain-Limbourg, Dour (Mons 1), Duffel (Anvers 1), Durbuy (Marche). — E Ecaussines (Braine-le-Comie), Ecaussinnes-d'En-ghien (Braine-le-Comte), Eeckeren (Anvers J), Eelen (Maeseyck), Eghezée (Namur 1), Elewyt (Bruxelles l), Elouges (Mons 1), Emptinne (Ciney), Enghien, **Engis (Liège 1), **Ensival (Verviers), **Eppeghem (Bruxelles 1), Eprave (Dinant), Erbisœul (Lens, prov. du Hainaut), Erezée (Marche), Ernage (Gembloux), Erquelinnes (La Louvière), Esemael (Tirlemont 1), **Esneux (Liège 1), Esschen (Anvers 1), **Esschene (Assche), Estinnes (La Louvière), Etalle (Virton), Ethe (Virton), **Etterbeek (Bruxelles 1), Eugies (Fra-meries), **Evere (Bruxelles 1), Exel (Camp de Bever-loo), Eysden (Maeseyck). * La correspondance s'effectue par les étapes allemandes. ** Correspondance privée avec l'Allemagne, Luxembourg, Pays-Bas et Autriche Hongrie. (A Suivre). service des trains 2. — MONS-VALENCIENNES-CAMBRAI-ACHI ET Aller Stations Heures .Mons (d.) 6,20 9,2011,20 3,20 6,20* 8,20* 10,20e Valenc {a.) 7,3010,3012,30 4,30 7,30* 9,50* 11,30* Valenc (d.) 8,05 1,05 5,25 8,05* 11,45* Cambrai ...(a) 9,36 2,36 6,56* 9,36* 1,16* Cambrai ...(d.) 3,19 Achiet (a.) 6,16* Retour Stations Heures Achiet (d.) 10,35 Cambrai ..(a.) 1,45 Cambrai . .(d.) 6,07 2,47 4,47 7,27* 1,47* Valenc. ... a.) 7,38 4,18 (5,18* 8,58* .".,18* Valenc. ...(d.) 8,53 10,13 11,53 4,33 7,13* 9,33* 3,33* Mons (a.) 10,03 11,43 1,03 5,43 8,23* 10,43* 4,43* Stations intermédiaires : Jemappes, St-Ghislain, Boussu, Thulin, Quiévrain, Blanc-Misseron, On-naing, Trith-St-Léger, Prouvy-Thiant, Haulchin-Thiant, Denain, Lourches, Bouchain, Iwuy, Mar-coing, Flesquières, Havrincourt, Hermies, Vélu, Beugny, Fremieourt, Bapaume, Biéfvillers et Bihu-court.Observations. — Les heures sont indiquées d'après l'heure allemande. — Les heures de nuits de 6 heures du soir à 5,59 h. du matin suivies de *. Compagnie Nationale Belge de Transports Maritimes SOCIETE ANONYME A ANVERS Messieurs les actionnaires sont priés d'assister à l'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE, qui se tiendra conformément à l'article 13 des statuts, le jeudi 1er avril 1915, à 15 heures (heure belge), dans les bureaux de l'Armement Adolf Deppe, rue de Bordeaux, 8, Anvers. ORDRE DU JOUR : . 1° Rapports du Conseil d'administration et du Collège des commissaires ; 2° Examen et approbation du bilan et du compte de profits et pertes arrêtés au 31 décembre 1914 ; 3° Décharge des administrateurs et commissaires ; >*° Nominations statutaires. Messieurs les actionnaires qui désirent assister à l'assemblée générale sont priés de se conformer aux articles 16 et 17 des statuts. Les actions peuvent être déposées "à Anvers dans les bureaux de l'Armement Adolf Deppe, rue de Bordeaux, .8. Le Conseil d'administration. Société de Navigation à vapeur " Schaldis " SOCIETE ANONYME EN LIQUIDATION Messieurs les actionnaires sont priés d'assister à l'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE qui aura lieu, au local de la société, 14, rue de l'Empereur, à Anvers, le mercredi 31 mars, à 16 heures. ORDRE DU JOUR : Rapport sur l'exercice 1914 ; Approbation du bilan. Les liquidateurs. Messieurs les actionnaires sont priés de se conformer aux statuts. Mannheimer Lagerhaus-Gesellschaft (Agence Générale) En charge pour MANNHEIM le bateau BADÉNIA 42 A suivre par des départs réguliers Pour frets avantageux pour TOUTES LES DESTINATIONS RHÉNANES s'adresser aux bureaux Canal au Sucre, 5, Hansa Huis. Transports pour toute la Belgique de marchandises par service accéléré et à prix réduits S'adresser : 65, RUE SANDERUS, ANVERS. La maison s'occupe des formalités de sortie. I —M— m 111 n ■«■■«««H

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Dit item is een uitgave in de reeks Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires behorende tot de categorie Financieel-economische pers. Uitgegeven in Anvers van 1858 tot 1979.

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