Informations belges

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s.n. 1918, 03 April. Informations belges. Geraadpleegd op 28 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/319s17td5j/
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N° 6o2 3 Avril 1918 INFORMATIONS BELGES Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelle» de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par an contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser le» oommunloationa de service : 29, rue Jacqnes-Loner, LE HAVRE (Selne-Inférleure) franc* (xx) — Réponse du Roi des Belges au message du Lord-chancelier d'Angleterre. — Au cours de la récente réception des sénateurs et députés belges, résidant dans 'e Royaume Uni, à la Chambre des Lords, le Lord-chancelier émit le désir que la délégation transmit au Roi des Beiges un message d'admiration et de sympathie. A ce message, le roi Albert a répondu en ces termes : a Je suis profondément touché par le message de sympathie que vous m'avez envoyé de la part du Lord-chancelier d'Angleterre. La réception accordée aux sénateurs et députés belges à la Chambre des Lords est, une nouvelle et précieuse preuve de la sympathie éprouvée par la grande nation anglaise envers la Belgique. Remerciez, je vous prie, en mon nom, le Lord-chancelier, et transmettez aussi mes remercîments à vos collègues qui ont désiré nvexpri-mer leur loyauté à cette occasion. » Les Prisonniers allemands chez les Belges.— Les lettres qu'ils écrivent à leurs parents. — Ils sont bien soignés et bien nourris. — Ils sont contents d'avoir la vie sauve. — La guerre est finie pour eux. — (Front belge, mars 1918 : d'un témoin oculaire). — Parmi les prisonniers faits par nous au début du mois, il y en avait une vingtaine qui étaient blessés et qui sont soignés actuellement dans un de nos hôpitaux du front. J'ai lu les lettres qu'ils écrivent à leurs familles en Allemagne. Toutes reflètent la reconnaissance pour les soins dont ils sont l'objet, la satisfaction de recevoir une nourriture bonne et abondante, le bonheur de se trouver maintenant en sécurité. Bernard Ziwes annonce à ses parents qui habitent à Rohrbach, dans l'arrondissement de Trêves : « Je suis blessé. A part cela je vais très bien. Je suis très content ici ». Kapitsky, de Bromberg : « Je me plais fort bien ici. Le manger et le boire sont très bons. Dites-le à tous ceux que vous connaissez et aussi à Hedwig (sa fiancée sans doute) qui m'est très attachée ». Ladislas Wismensby, originaire de Bromberg également : « Ne vous faites pas de soucis à mon sujet. Je suis très bien soigné ici. Je me trouve complètement en sûreté et vous pouvez aller vous coucher avec la certitude de me revoir un jour ». ' Emile Seyfert écrit à sa femme,à Haile-a/I, qu'il a reçu des éclats de grenade dans les mains, et qu'il a fait écrire par un ami, il y a quelques jours, qu'il était blessé : « Je me sens tout à fait bien maintenant, ma chérie. Après trois semaines, je fume aujourd'hui ma première cigarette. Le manger est bon. Je suis content. Le traitement est bon aussi. Espérons que la guerre prenne fin bientôt pour que nous puissions nous revoir. » Nicolas Schneider, de Dombrovitz, en Haute-Silé-sie : « J'ai l'honneur de vous apprendre que je vais beaucoup mieux. Jusqu'à présent je suis très bien traité. Je suis blessé et je me trouve dans un hôpital en Belgique. Grâce aux bons soins, je serai bientôt guéri. Je vous prie de ne pas oublier d'écrire à Ger-trude et à la compagnie où je me trouve. La compagnie m'a sans cloute signalé comme disparu puisqu'elle sait quej'ai été blessé. Elle doit ignorer sans doute ce qui m'advint par la suite. Ne vous faites pas de soucis à mon sujet. Je suis bien soigné ici et je n'ai besoin de rien. Tout est moins cher ici que chez vous. A part cela, je n'ai rien à vous communiquer. » Cette lettre est curieuse et par le souci de Schneider de faire avertir de sa situation actuelle Ger-trude, sa fiancée sans doute, et son commandant de compagnie — sur qui il lui donne le pas — et par son observation sur le prix de la vie chez nous et en Allemagne. Dans une autre note, voici la lettre que Wilhem Hohlweg adresse à son beau frère Kasper GriiU, à Hagen, en Westpbalie. Hohlweg, lui, a des motifs de plainte, mais ils ne sont pas bien graves. Il reçoit la solde d'un soldat belge et n'en est pas satisfait. Il semble plutôt vouloir « taper » le mari de sa sœur. Ecoutons-le : «Je suis très bien,jusqu'à présent. Je ne suis pas encore assez guéri pour pouvoir vous écrire sans aide. Voilà pourquoi je suis content de me trouver avec plusieurs camarades allemands dans une même salle Je ne puis me plaindre de rien que de la phtisie de mon porte-monnaie, car on n'arrive pas loin ici avec 5 centimes par jour, surtout quand on est un fumeur de cigarettes comme j'en suis un. » Si les prisonniers belges en Allemagne n'avaient jamais d'autre sujet de plainte Jos. Esch, originaire de Bromberg, en Posnanie, est d'un caractère religieux. 11 écrit à sa mère : « Depuis le 7 mars, je suis prisonnier des Belges. Cela vous paraîtra très étonnant, mais Dieu l'a voulu ainsi. Ensuite d'une petite blessure par un éclat de grenade, à la joue droite, je suis maintenant dans un bel hôpital belge. Tout va bien. Que Dieu vous console et fasse que nous nous retrouvions bientôt ensemble. » Max Biermann mande à ses parents,à Stettin : «Je suis prisonnier des Belges. Je suis légèrement blessé. Je me trouve à l'hôpital. Je puis être heureux

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