Informations belges

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s.n. 1917, 19 Juni. Informations belges. Geraadpleegd op 27 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/s46h12w65t/
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H» 370 19 Juin lttf InformationsBelges Observation, importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible em de ubficâtiôn6"aSSUrerexactltude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité n'a pu être contrôlée sur source.' (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source, (xxx.) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun sigae. Adreaaer les communication» de .wrioe : 53, rue des Gobelins, K.E HAVRE (Seine-laférieure) Franee. (xxx). — Les civils belges continuent à être déportés et contraints au travail. — Mauvaise foi d'un démenti allemand. — Une dépêche Wolft' de Berlin, en date du 7 juin 1917, dément une information du Gouvernement belge en déclarant ce qui suit: « De source autorisée on nous confirme que les déportations de chômeurs pour l'Allemagne ont cessé complètement depuis le 10 février 1917 ». Ce démenti est de mauvaise foi. Il joue sur les mots, pour esquiver l'accusation belge. Suivant un procédé fréquent de la propagande allemande, il porte non point sur le fait essentiel, à savoir l'enlèvement de force de civils belges, mais sur d'autres points, tels que leur envoi en Allemagne. Or, l'information belge visée ne faisait aucune mention de l'endroit de leur déportation. Ce qu'elle dénonçait c'est que, contrairement à ce que le Gouvernement allemand avait fait croire universellement par ses déclarations et promesses du mois de février 1917, la population civile de Belgique occupée, sans distinction entre chômeurs et non-chômeurs, continue à être déportée de force et contrainte à des travaux utiles à l'ennemi. Ce fait est établi de la façon la plus incontestable et le Gouvernement allemand est mis au défi de \\ démentir. Des enlèvements en masse ont recommencé clans les zones d'étapes de la Belgique occupée, entre autres dans la zone d'étape du Luxembourg et dans le district de Mons. De plus, des enlèvements en masse ont été pratiqués et continuent en dehors des zones d'étapes, entre autres dans l'agglomération bruxelloise. La destination et le lieu de travail des malheureux déportés ne sont pas connus dans tous les cas d'enlèvement, mais il est acquis, par exemple, que 300 civils enlevés des environs d'Arlon ont été mis au travail des routes dans le Nord et dans l'Est de la France. Parmi eux les notables avaient été enlevés de préférence. Ils ont été astreints à nettoyer les routes aux environs de Montmédy et à construire des voies ferrées dans la région de Metz. En ce qui concerne la région de Mons, les renseignements déjà publiés par le gouvernement belge sont probants par eux-mêmes. C est ainsi que le 15 avril 1917, en application d'une ordonnance du général von Below du 11 mars 1917, affichée à Mons le 14 mars, une circulaire émanant de la Kommaudantur, portant le numéro 290, datée du 15 avril 1917 et signée « Von Zeschau », a été adressée à Mons, disant entre l'administration de la ville de autres choses ce qui suit : « La ville de Mons doit fournir pour le lundi 16 avril 1917, à 12 heures (midi, temps d'été), 600 ouvriers à la caserne de la cavalerie. Ceux-ci peuvent appartenir à toutes les professions. Choisir en première ligne : étudiants à partir delà 17e année d'âge accompli, propriétaires de petits magasins et estaminets, garçons de café ou employés (écrivains). Ceux ci doivent se munir de vêtements chauds et de fortes chaussures. Il est recommandé d'emporter des approvisionnements ». La circulaire termine en édictant une amende à charge de la ville pour tout homme manquant et une punition d'amende et d'emprisonnement pour les hommes récalcitrants. En s'obstinant à démentir de tels faits établis même par des documents allemands, le gouvernement ne fait qu'établir une fois de plus la preuve de sa duplicité. (xx) — Les déportations de Belges continuent. — Malgré tous les démentis des agences allemandes le correspondant de la frontière belge du Telegraaf' d'Amsterdam (5 juin 1917), affirme que les déportations continuent. D'Erquelinnes (Hainaut), les Allemands déportent, continuellement, des hommes et desjeunes tilles vers le Nord de la France. Les hommes sont occupés à des travaux militaires, les jeunes filles sont employées aux travaux des champs De Liège et des environs, des civils sont dirigés vers le Luxembourg pour y coopérer à des travaux d'utilité militaire. (xx). — La crise alimentaire en Belgique occupée. — Il y a plus de civils belges morts de faim que de soldats belges tombés sur les champs de bataille. — Aveu d'une feuille bruxelloise teutonisée.— On sait que les feuilles à la solde des x Kommandanturen » s'efforcent de rejeter la responsabilité de la crise alimentaire, due aux réquisitions et aux torpillages allemands sur les administrations communales belges et sur le « Comité national de secours et d'alimentation ». Un de ces organes stipendiés revient è la charge, longuement, dans son numéro du 11 juin 1917, avec un article intitulé« La crise alimentaire en'Belgique' et le Comité national de secours et d'alimentation ». Justice ayant été pleinement faite de cette campagne hypocrite, entre autres par la miseen lumière de l'aveu d'un journal bruxellois teutoniséZa Belgique (21 avril 1917), au sujet de la publication, par les organes soudoyés, de « réclame bien payée » à

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