Informations belges

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s.n. 1917, 16 Juli. Informations belges. Geraadpleegd op 18 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/k93125tr5f/
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N° 397 16 Juillet 1917 INFORMATIONS BELGES Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de service : 52, rue des Gobelias, LE HAVRE (Seine-Inférieure) France. (xxx) — Echange de télégrammes entre le Roi des Belges et le Président de la République Jran-■çaise, à l'occasion du i/} juillet. — A l'occasion du 14 juillet, S. M. le Roi des Belges a envoyé le télégramme suivant à M. Raymond Poincaré, Président de la République française : « En ce jour où la France célèbre sa Fête nationale, je suis heureux, Monsieur le Président, de vous réitérer l'expression de mes sentiments d'attachement et de gratitude, ainsi que ceux du peuple belge, pour la généreuse et vaillante nation voisine et amie. « Je vous réitère tous les vœux que je forme pour les victoires des armées françaises,. Je m'incline enlin devant les prodiges d'héroïsme déployés journellement, depuis près de trois ans, par les incomparables armées de la République. (s) ALBERT. » Le Président de la République a répondu en ces termes : « A S.M. Albert 7er, Grand Quartier général belge. « Je remercie Votre Majesté d'avoir bien voulu s'associer aussi chaleureusement à la célébration de notre Fête nationale. Les armées de la République seront profondément touchées de votre haute appréciation. Elles savent de quels nobles soldats leur vient un éloge si vibrant. Elles savent aussi quels exploits la vaillante armée belge n'a cessé d'accomplir sur l'Yser, à l'école de Votre Majesté. Fières de la fraternité d'armes qui les unit aux troupes alliées, elles continueront de combattre à leurs côtés pour la délivrance des populations opprimées par l'ennemi et pour la réparation nécessaire des droits violés. Je prie Votre Majesté de présenter à S. M. la Reine mes hommages respectueux et de croire à ma fidèle amitié. (s) POINCARÉ.» (xx) — Déportation de notabilités belges. — Détails précis sur les circonstances de l'arrestation. ■— Des vieillards et des malad-s sont maltraités. — L'initinlive de l'emprisonnement des civils est due aux Allemands. —Le Times publie, dans son n° du 11 juillet 1917, des informations que lui apporte un voyageur venu de Hollande. « Un belge, qui vient d'arriver de Hollande, a apporté des renseignements précis sur les conditions dans lesquelles ont été arrêtées les 28 personnes déportées et emprisonnées en Allemagne,en représailles des soi disant mauvais traitements infligés aux Allemands de Tabora. L'arrestation a eu lieu les 29 et 30 juin dernier et les otages belges ont été dirigés, par trois trains différents, sur leur lieu de détention, Holzminden, un des plus mauvais camps pour civils. Ce sont des gens tous âgés de 50 ans au moins ; le plus âgé a 72 ans. Plusieurs sont malades, notamment le comte d'Ursel, ancien sénateur, qui souffre d'une maladie de cœur, et comte John d'Oul-tremont, grand maréchal du feu roi Léopold. Atteint d'uue bronchite aiguë qui l'obligeait à garder le lit, les Allemands n'ont pas eu honte de l'obliger k se lever et à les suivre sans lui dire où ils le conduisaient. Aucun des prisonniers, d'ailleurs, ne fut avisé de la destination du voyage pour lequel on leur ordonna de se préparer en moins d'une heure. « Le témoin qui nous rapporte ces détails a pu assister à l'embarquement d'une série deces otages. L'un d'eux, perclus de rhumatismes, ne put marcher que péniblement jusqu'au wagon. Ils n'avaient pas eu le temps, pour la plupart, de se munir ni de vêtements ni de provisions et le voyage devait durer vingt heures. Un seul avait une valise, aucun ne portait sur lui plus de 100 francs d'argent. Il y en avait qui ne portaient que leur canne. « Le jour même de ce départ, les journaux censurés de Bruxelles publiaient des articles rejetant sur le gouvernement belge la responsabilité de ces représailles,imposées aux autorités allemandes par la manière dont auraientété traités les civils allemands se trouvant à Tabora. Or, le hasard a voulu qu'au moment même où le témoin belge nous rapportait ces assertions faites à Bruxelles, se trouvait ici, à Londres,une autorité de la colonie ayant pris part à la campagne de l'Est Africain. D'après ses déclarations, trois ordres de faits sont établis qui réduisent à néant les affirmations allemandes. « D'abord, l'initiative de l'emprisonnement de civils a été prise en Afrique par le gouvernement allemand qui a arrêté, au mépris du droit des gens, de paisibles voyageurs ou colons belges, anglais et italiens et les a maintenus, dans un lieu de détention, pendant plus de deux ans. Des femmes se trouvaient parmi ces internés. D'après leurs témoignages formels, et sur l'aveu même des officiers et soldats allemands faits prisonniers, le régime imposé à ces blancs non-combattants fut odieux, d'autant plus qu'il était appliqué sous les yeux des noirs. De ce chef, le gouvernement belge aurait pu se trouver en droit d'imposer un traitement analogue aux

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Dit item is een uitgave in de reeks Informations belges behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Le Havre van 1916 tot 1919.

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