La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

1937 0
18 september 1917
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s.n. 1917, 18 September. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Geraadpleegd op 26 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/5h7br8ns85/
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IWÎardf 18 Septembra I©!7 .totttina'L onoTrorEi* X,e TViîmêro : 10 Centimes 4* Année.N' 1022 PRI.X DftS fte«NNEMfT® B mois (ooto'.)., noTeml'., déoemb.), Ir. 7.65; 2 mon tost.. nov.), Ir. 5.10; 1 mois (ocL), 'r. 2.as. Lt, iemanOe, ^abonnement >on: reçu- =*«««-«1 (« /&«««" ■<« /*>*«• -U, -iciumafiont MncemuM u, a'wnntmcnls dvn-e,H tu; adr^M exclusivement aux bureaux de jxwlfc ACSlNlSTRATIOfi El REDACTIOfi. 01, Montagn®-8ux*Hwbo5'P«J(igàr8$, SraxelÎM. LA BELGIQUE PRIX DES ANNONCES Petites annonce», la ligne, fr. Q.51Î. — ftJelaj&e* avant le^annoncets, la ligne, Ir. 1.25.— C<» journal, la ligne, fr. u.OO.— Faits diwr«, }& Cr. 3.7ô. — Nécrologie, la lign*, it. 2.50. ~ Cc>m des Eleveurs, la ligne, ir. 1.00, Bureaux de 0 à 17 heurom. Olreotlan et A^alHistraMBi : g°jf i? ,vVij iO3. BfiOflESSÊC, DIRECTEUR LA GUERRE 1,142° jour de guerre Rien à signaler. tes évéaemeaîs de Russie l.e coup d'état de kcrnilof Zurich, 16 septembre : Un rad-iotélégra mrne de Pétrograd an, nonce que Korniiof n'a pas encore Êait s'j BjumiissUra. Il exige la création d un trium-virât dont il ferait partis e-s demande, er outre, la- suppression de toutes les commis êions des Conseils des ouvriers et e>oldiut4 envoyées sur le front. D'autre part, on mande de Londres ai „Seooio'' que les liasses r-siidsuit à Xx>n dres estiment qu'un accord interviendra en. tte M. lierons la ot ie général KornUof e que ce dernier fera partie du nouveau gouvernement.* * f Copenhague. 15 septembre : On mande de la frontière russe : — On ne sait où réside la généra Korniiof, mais ii est incontestable qu i îeuit d un prestige croissant auprès des en nemis do M. KerCnski, dont, le noinbr b (j- j, notablement accru depuis que Paria € Londres l'ont désavoué quand ils ont v pâiir son étoile. Tout le monde sait qu M- lierenski est en guerre avec les minis très de r Entente à Pétrograd', auxquels i n'a pas permis rie s'immiscer, comme ^ il 1-auraient voulu, M. Buchunan e t t-to, dan ses affaires. C'es: pnr cette s-taation d-.L cate qu'on explique le sljin pris par il Kercnsiû de dire qu'il n'est pais à mérn de garantir la sécurité de3 diplomates éfcran gers, car l'état d'anarchie à Pétrograd. n s est pas aggravé. Au surplus, U est toi: à fait invraisemblable que le* diplomate se décident à quitter pétrograd',-tous movea de transport leur faisant défaut. * « Berlin, 17 septembre : L'opinion générale a Pétrograd est que ] général Korniiof ei le hetmaii des cosaquc K aie-Ane seront, tous deux fusil!'s pour mi th.erie : on sait' que c'est Komiloi lu màiiie q,ui a t'ait rétablir la peine do mo: pour mutinerie dans 1 armée. * * Copenhague, 10 septembre : l)ans le fou'His des télégrammes de P< trograd, dont les uns signalent l'agreste tipn du général Korniiof et de ses part sans, tandis que les autres disent qu' il e encore en liberté, un des. plus récents r tient. Surtout 1 attention : il annonce qi ki plainte déposé oontjro le générai Ivo nilof a été retirée, étimt donné qu'on ten sérieusement de »e réconcilier avec M. K xenski. * * * Pétnograd, 16 septembre : De T Agence Té. .'graphique : — Le gouvernement provisoire vient ' faire affioher un avis proclamant la rep? bli-iue en Bussie. ♦ * * Pétrograd, 16 septembre : Do l'Agence Télégraphique : — En sa qualité de généralissime, M. K ronski a adressé un ordre du jour à l't m e et à la flotte. Il fait d'abord ress^r que la rébellion du général Korniiof a je la perturbation sur le front et ajoute : ld L'amiée doit cesser de s'occuper ( politique et tout doit êtro mis en œuv pour y rétablir la discipline ; 2J Les mouvements de troupes se fero de nouveau suivant les ordres! du comma dément supérieur •, 3° Les chefs niilitaâres n'auront plus droit cï'ordjunner des arrestations, qui a{ partiendra désormais untquieuient- an trib" nai et au procureur do l'État ) 4° Les commandants ne pourront pas êfc destituas. M. Kereaiski termine en exprimant la coj viction que l'armée, qui est rest'e fidèle '< gouvernement pendant les troubles, se soi viendra que la patrie ne peut êtr3 sauv que par le rétablissement de la disciplii et de l'union dans l'armée. Pétrograd, 16 septembre : De l'Agence Télégrapliique : — Le département poiliïique du ministij de la guerre a décrété q,ue les commisse res et les organismes militaires reprise tent le gouvernement et qu'ils ont poi tache (Fasseoir la discipline sur des bas démocratiques et révolutionnaires. Un oon missaii'o supérieur pour toutes les arm^i sera nommé et siégera un grand quarli général; en outre, des commissaires sp ciaux seront délégués dans les diff'ren corps. * * * Loiiurcs, 16 septembre : On mande de Pétrograd à FAgecu Heuter : — Après de longs pourparlers, on a coa ftitiié un cabinet de guerre composé ( tinq ministres suivants : RBI. Kerensx président du Conseil; général Wernovsk fiii.iistre de la guerre; amiral Nerd'rvol] îninistre de la marine; M. Teretchenko, m «istre des affaires étrangères tt M. Nikiti] ministres des postes et télégraphe*. Pétrograd, 16 septembre : De l'Agence Télégraphique •. — Lee pourparlers engagés entre le goi vemomeut et les paatis politiques se so: prolongés jusqu'à une heure avancée de ] nuit et ont amené une détente dans la s tuation politique, devenue dos plus cr tique La liste des nouveaux ministres et' arrêtée et sera publiée demain. La no velie de l'arrestation du général Kornil et de ses principauté complices a aussi co: feibué à améliorer la situation. * * » Pétrograd, 16 septembre : De la „Gazette de la Bourse' : — La décision prise par lo gouvera ment de réunir le coin maniement supériei l'armée et la direction suprême de l'Et; entre les mains d'un seul lui a été diot' p^r ia volonté de donner aux soldats ui pleine confiance dans le commandement s fiérieur et de rendre à jamais impossib e retour d'une tentative du genre cRi cor d'Etat de Korniiof. Las journaux de gauche, notamment i », No va! a Chisn", assurent que les Code désireraient vivement étire représentés a sein du gouvernement, mais qu'ils se heu; tent à ce sujet à une résistance formelle. m Berlin, 16 septembre : On mande de Stockholm au 5,Berlin< Lokal Anzeigor" eue l'exode de la. popa lotion de Pétrograd est général : faute c trains de chemin de fer et de voitures, 1< S^ns quittent la ville à pied «tins iavot epetemetnt où fit vont. On <*k cfacoonl e d'ici qnelquea jours la capital •era en proie à la famine. Stockholm, 17 &?ptembre : Les mass .cres d officiers continuent en Finl.mde. ■'•u dehors des scènes sanglante, qu'on a déjà signalées de Viborg, Wilman strand et Pawasiehus, on appre.idi à pré sent que les soldat-s de îa garnison d'Abc ont tué en pleine rue lo commandant du ré giment et plusieurs autres officiers à cou» de feu. A IlelsingCors, plusieurs officier: de la marine ont été maltraités. » c • Pétrograd, 10 sep ombre : On mande d'Ilelsingfors que l'équipage du navire de guerre ,, Petropia-wlowsk' ' i fusillé quatre de ses officiers qui avaien refusé de signer un acte d'obéissance ai gouvernement provisoire. Le comité révo | lutipunaire local et lo ministre do la ma rino *mt adressé à la Clotte un manifest désapprouvant de tels actes do violence. * * Pétrograd, 16 septembre : Do l'Agence Télégraphique : — Le gouvernement a décidé que le Sé ^ nat finlandais, réglei'a désormais une s-r' [ de questions dont la solution était ' exclus i vement réservée jusqu'à présent, au grand duc de Finlande. La convocation et ia dis solution de la Diète, la discussion du bud get, l'exercice du droit de grâce, la nomi nation du gouverneur général et d!'autre Y questions encore ne seront- pas de la oomp£ . tenco du Sénat- Stockholm, 17 6ej)lembre : j On jnanda de Chei-sou que la plupai L cU>s Ifcauniains qui rÛEi^giéâ e „ Cri u^e ont décidé, i raison dieu manque d vivres, de se fixor dans les gouvernamenl 1 do l'Est e. dans la Caucase. Les ittogil s aisés sont partis pour la France ot l'Ai s gietcria. 3 La Conféreffice de Stockliok 0 Amsterdam, 16 seprembre : + On mande de Stockholm au ,,IîandeL . blad"' : s — La Conférence de Stockholm ne : réunira que vers la mi-d'ècembre. ♦ * ♦ Stockholm, 17 septembre : La Conférence des Zimmerwaldiena « ^ terminée, i-o compte rendu des d'iib-ôratioj sera publia au début de ia semaine pr _ chaine. La Conférence a pris position co iL tre la guerre et contre sa prolongation ni indispensable, ne fût-ce que d'un jour. JUKI AMÉRIQUE Vt'asUington, 16 septembro : Lo S.'nat ii votô à l'unanimité le proj 5t de loi autorisant te gouvernement à érnett 11,538,000,000 de dollars de bons du Trteo >e * * L._ Washington, 16 septembre : Toute l'industrie suôrière des Etats-Un a a été mise sous le contrôle du gjouvern meut. * * ♦ Tokio, 16 septembre : Les Etats-Unis ayant interdit toute exp< [e tation' de fer et- d'acier, les chantiers n i_ vais japonais se trouvent dans une situ tion des plus difficile, et les plus impo tants d^ entre qux devront peut-être cess leur exploitation à bref délai. Une commi sion japonaise est partie pour Washingfc c. pour obtenir du gouyernelment américa r- qu'il autorise provisoirement et partiejll iL- ment les exportations vers lo Japon, ué * * * Berlin, 17 septembre : ie Le prétendu attentat contre la mission bel/ Lô aux Eiats-Unls. (ïont le c XXe SRcle > a par apres les journaux am^Ticains, n'a oxi3l' qi dans l'imagination d'un correspondant mal i n'' foiïni^. L'incident c?t ramoné à ses justee pr a- portions par le tilcgramime suivant do Loni ville : ja — Line série d'autoa misea à la dispositic de la mission belge g» présenta à. l'entrée d'v camp américain. î.et prevuier vélïicule était o ^ capâ i>ar un civil américain, qui avait dires lo-* plans du camp, et sur l'oixlro do l'occ :e pant lo chauffeur no s'arrêta pas, comme commandait la sentinelle. Celle-ci fit fou, heure . soment sans toucher personne. Un officier am i onin qui accottnpagnait la miâsion belge, fit r le'.'er l'homme dp son poste, inaii? les autorit l- milit-iires donnèrent raison au solda* qui ave Q fait feu. > ° LE "PAPE El LA <PAD Lugano, 17 septembre : Plusieurs évoques français se rendîro dans quelques semaines à Rotne, en a dietnce chez le Pape. Les socialistes pai ±_ ?,iens croient qu'il s'agit de la proposifeh ir do paix du Pape, qui désirerait la coliab ration des éveques en France. E DÉPÊCHES DIVERSES é- ts Lugano, 17 septembre : Depuis dimanche, à minuit, la frontiè italienne est rigoureusement fermée. Il n'a rive aucun train d'Italie et les fourgo: Je italiens se trouvant dans la gare inJiern tionale ont retiras avant-hier sur ten i- toire italien. Le trafic local des voyagea ie par la gare frontière de Chiasso est. e », tièrement suspendu. Le courrier et 1 i. journaux ne sont pas . arrivés. On ne oo-l, naît ni le motif, nà la durée de cette fe i- meture de frontière. Berne, 16 septembre : On mande de Turin au ,,Berner Tag blatt" : — La ville reste en état cfio siège. I i- combat s'est livre dians les rues entre ît troupe et les ouvriers. Le gouvernement a donné l'ordre aux soldats de se servir < U mitrailleuses; dix ouvriers ont éfcS tiuéa i- ;1 y a eu des centaines de blessés. Les a a tories font procéder à des arrestatims < li- masle. Tous les secrétaires d'e>s syndlica ouvriers sont inearoârés. Les ouvriers d a- usines d'automobiles Fiat ont ce=sjj la tr vaii pour cinq jours. * La Haye, ig septembre : L'Agence Télégraphique annonce que 1 0- arrivages de charbon de l'Allemagne o ir commencé. U „ ie Stockholm, 16 septembre : ie Le Roi a reçu aujoujrd!'hud en audion 1- privée le baron von Lucius, ministm d'A Le lemagne. •P * * ♦ Pétrograd, 16 septembre : a On mande de Nevvt-York à l'Agence T -s légraphique que le Japon ne songe pas u subordonner à aucune sorte de condition > spéciales une participation pi us forte à guerre de sa part. Il estime que la que tion de KiaowTohéou ne peut constitu l'objet do pourparlers avec les Etats-Uni r mais qu'elle devra être résolue à la Conf i- rence de la Paix : il considère (Pailleut o que la manière die voir concernant les a » faire& de Chine ne doit pa« être disent r avant la fin de la guerre, pa« plue que à poamfc de vxie qu'dl a adopté concernant e Karl des île* &llen*andes ooeu|j*é<ji pac 1 feus 1 poéa* Pacifique, COMMUNIQUÉS OFFICIELS Comiauiiiq'aés des ^uissaaces Centrales. Berlin, 17 septembre. — Officiel de ce midi : Théâtre do la guerre à l'Ouest. Armées du feldl-maréchal i)iiuee héritier Rupprecht de Bavière : Grâce au temps cuir, l'artillerie a déve-ï loppé ime gi-andio activité. En Flandre, sur k ia oôt'j et dans certains secteurs compris L entre le bois d'Hoœùoulst et la Lys, le a.el l d'artillerie s'est trangfoimé à différent s reprises en un très violent l'eu roulant, L in- - fanteide anglaise n'a pas attaqué; il n'y a 3, eu que des combats locaux e^itrs avant- postes qui ont laissé des prisonaiiers enue nos mains. Au nord-est d'Arra#, de forts détachements de reconnaissance anglais onc attaqué la nuit; à certains endroits, ils ont m Vue p n-tr^ dans nos lignes, d où. a une rapide contre-attaque les a e^uis'js. - Prés de Saint-Quentin, l'ennemi a aussi - préparé par des canonnades les attaques de - ses éclaireurs, qui ont été partout repous- - sés. Armées du prinoe héritier allemand ; s Le long de ïJ Aisne, principalement] au - nord-est de So:s>ons, ainsi qu'en Champagne et devant Verdun, le feu de 1 artillerie est devenu très violent. Au cours cte plusieurs engagements entre détaoiheimenta de t reconnaissance, les Français ont laissé des 0 prisonniers entre nos mains. e Lieux avions, faisant partie des esca-s drilles ennemies qui ont attaqué hier, à s deux reprises, la ville de Colmar, ont été descente par nos escadrilles de ctias^e* Nos ennemis ont perdu, eu outre, 16 avions. Le lieutenant Berthold a descendu, le 15 septembre, deux avions ennemis, et le lieuie. 1 nant Schleich a abattu ces deux derniers jours trois, adversaires en combats aérien*. Théâtre de la guerre à ,'Est. Pas d'événement essentiel à signaler. ,Q Front macédonien. La situation est inchangée. ♦ * * Berlin, 17 septembre. — Officiel d'hier iSb soir : lS En Flandre, combat d'artillerie avec al-iernances de recrudescence et de diminution L- d."intensité ; combats d'infanterie localisés. ,n A part cela, rien d'essentiel. ^ ^ Berlin, 16 septembre- — Officiel : Dans l'océan Atlantique, le golfe de Gas-cogne et la mer du Nord, nos sous-marins ont encore coulé 4 vapeurs et l1 vtoilier, at, représentant un jaugeage total de 23,000 re tonnes. Dans le nombre, il y avait les va-r. peurs armés anglais ,Magda'' (7, «74- tonnes) et „,Itoaneke" (3,755 tonnes), changés de colis divers; un piège q sous-marins ls sous formc d'un schooner à trois inats, eu arme de deux canons et naviguant sous pavillon suédois. Le capitaine du vapeur ,,Roaneke'' a été ernmene prisonnier. * * * ir- Vienne, 17 septembre. — Officiel die ce a,- midi : i. Sur le théâtre de la guerre à l'E^st et en r* Albanie, ixis d'événement particulier à sd-îr gnaler. Sur l'îsonzo, duei d;artillerie aou-vent violent au cours de la journée- Aprèfc )u la tombée du jour, l'ennemi a at.aqué vai-n nement à trois reprises au sud de Podu 0- iesce. Sur le versant nord-ouest du monte San Gabriele, des détachements du Honved ont pénétré dans les tranchées ennemies et en ont raanené des prisonniers et des mi- P_ trailleuses. ;? * Lî it i* > t « Vienne, 17 septembre. — Officiel d'hier : Front ce l'Est et d'Albanie. £ Bien de particulier à signiaJier. Front italien. n Aju sud de Selo, sur l'Isonizo, nous avons ^ fait échouer des atitaqnes italiennes. Dans ^ le secteur méridional du plateau die Bain-u sizza-Heiligcn^eist, l'.ennenii a de nouveau b repris se3 tentatives d'enfoncer mas posi-j- lions. Dans des corpa à corps "acharnés, nos troupes ont eu le dessus, et les Ita^ ^ liens ont été repouss<^s. il Près de Gorz ot sur le plateau du Karst, combat d'artillerie. * * c S Sofia, 16 septembre. — Officiel : Sur le front en Macédoine, feu de diversion sur différents points du front. A l'em-at bouchure de la Strouma, un détachement de a- reconnaissance anglais a teinté dé prendra 1- l'offensive, il a été mis en fuite par notre ►n feu. Dans divers secteurs activité aérienne, o- Sur lo front en Roumanie, à l'ouest dflsaccea, activité do l'artillerie. Constant'nople, 17 septembre. —» Officiel : A l'est de Suleimanl, près du pont Garu, engagements entre détachements de reconnaissance. A l'est de Revendu#, nos suc-ce cès signalés hier ont été étendus; nos trou-r_ pSs ont rejeté l'ennemi hors de deux pos'u ia tions établies dans le ool situé au nord-est de Babakerva Bayat. Nous avons fait • 28 prisonniers et nous nous sommes empi-c~ rés de deux mitrailleuse» et do matériel de 3 guerre. pT Sur le front du Caucase, au sud de Van, une compagnie ennemie a tente de surpren-a" dre nos avant-postes- Après un comba-t r" d'une heure, il a été retpouseé. Sur d autres points, un bataillon et un escadron ennemis, appuyés par deux mitrailleuses, ont attaqué nos positions. L'ennemi a tout d'abord réussi à refouler nos postes et à - pénétrer dans notre première ligne , il a été I ensuite repoussé par une contre-attaque. Sur le front du Sinai, notre artillerie a ,a efficacement bombardé les Anglais, qui se *1' retranchaient au sud de Gatza. Nos pâ-trouilles de 'Bir-es-Saba ont détriiit le^. tra. ^ vaux de creusement de puits que oommen-^ rait l'ennemi. 'f Berlin, 16 septemi!)rc. — OCleiCux : Sur Ie front en Flandre, de violentes vagues de feui e- d©3 atta^quxa partielles iuterrom'j>ent par intermittence© lo temps d'arrêt que continue à Buibir la bataille. Notatnwnent pluaieurs batail-3S Ions anglais ont prononcé une attaque, à l'oat *i d'Ypre^. lo 15 septembre dans l'après-midi; Us d, ont r 'ue=l h p''n>'tier dans nos lignes que dan-un itroit ©spacc, au nord de la route d'Yprcs-l'enin. En pcr&islant dans ce sysitVmie d'attaques, qui leur coût en! toujours une forte dépense 29 d'hommes et de munitions, l.s Anglais chcrc.'ioit plutôt à produire un eff^i .moral q.u à atteindre des buts matériels et tactiques. Ils cherchent à iairo croii>e par ce contimicl gaspillage de munitions et de vio-i h un va i nos, que laur (ilfenaive dure encore e" Flandre et à ajourner le plu? é_ lonptormpS po-siblo l'aveu qu<j cette offensive: ^ s'est écroul'o ilans des conditions qui lui donucm l'allure d'une oatastnophe. . Les op 'rations ■•ntrepri-jcs pjar les Anglais à ^ la côte ont ci visl 1.nient le mime caract'' i1® S- d'tm(o3istriat?lons. Au rarti de leurs cs' ivl li es 3r aériennes, qui avaient à plu. ieurs r«pri;eS|' jen-a dant la joum'p, croisé devant la cûte de Flun-i cfro, ont succ\î;\ pendant la nuit du 15 au lo, une camoisnade dirigée par des coniSre-totpôlilsura anglais1 sur nos avant-j'Otite? éfaWis près d'ds-ï- tende et d'infructueux jets de barabts. Nos is a-e (Trilles d aviateurs ont, da leur côté, fait preuve |q d'r.ctiv'itf.j : elles ont bombardé de6 camps et dos iQ bet^rio? et ont pu observer plusieurs grandes , explosions et on* atteint de leur» bombe» un bollom oajjtfif ensuefmi, jquA &H dosooodu ea floropxa. XJbfl attaque q_uja 1«3 ont râtt^K* «m Artois, entre la route Arras-Cambrai-Fontaine, n'a ©u aucun succès et leur a coût6 des pertes ox-fr mêlaient éleves. Sur lo frouît d'f^n);ltu par le» Franiçads, ^'ôpul-so'Jient ost plus grand enooie. AfÂaet. i i«ii% une reei'u-tf ence du fou d<a laur artillerie entre \'auiaillon et la forme do Larootte, et une opération de patrouille que nous avons repotussi-e près du Hochterg», il ni'}" a rien à' sign/ader à 'i r actif. En vue de dlssianulcr cet iirrèt des opérations, qui montre avec quelle e-.traordiuaire rapi(V!< si'e-t écroulée la dernière of^^nsiv» oa Ciiampagno et sur le front ue Verdun, la direction do 1 armlc française en revient à son anci^a e3-£fl'tDr3, consistant à. foi^ea- de toutes pièces dt's attaqiaei Le- euiit fil de la Tour V/îff 1 du 15 septembre signale une attaqué fran-..aieo soi-disant réussi? sur la rive drodW de la i/.'ouB?, au rntrtî du bois de Caiirières. Or, cette atUxque n('a eu lieu que dans l'imagination du correspondant de la Tour Eiffel, et la vérité qu'il ûk'y a eu là de oomlxvts d'aucune sorte- Sur lo front à l'Est, le® opérations n'ont <t un peu plus actives qu'en certaine endroits. Sur plufiijeurs pointa, nos trompes dj'atitaque ont ramoné des prisonniers et du butin. Commiîniqués des armées alliées Paris, 16 septembre. — Officiel de 3 h. : Au nord-ouest de Iteims, un fort coup d< main ennemi sur nos postes de ia regior de Loivre a échoué sous nos foux. Lz lutte dfartillerie a été assez vive clans h seoteur Maisons de Champagne-Massiges Aucune action d infanterie. « & • Paris, 16 septembre. — Officiel de 11 h. Sur ie front de l'Aisne, assez grande ac tivibô des deux artilleries dans la régioi Bra^ O-Cerny. Sur la rive droite de h Meuse, l'ennemi a prononce une nouvel b attaque Sur nos positions au nord du boi: des Caurières. Nos feux décianchés ave précision ont contraint r ennemi à reflue; vers ses tranchées dP départ. Sur la riv gauche, vive lutte d'artillerie dans la re gion du Mort-Homme. Journée calme su -le reste du front. « Paris, 15 septembre. — Officiel de l'ar méo d Orient : Journée généralement calme. Lutte d'ar tillerie et d engins de tranchée sur quel ques points du front. PETITE GAZETTE aux tramways Depuis quelques jours on peut voir, l'intérieur dés voitures des Tramways Bru xellloiis, une affichette portant cette mention, — iin cas d'encombrement, quatre voya geurs peuvent se tenir debout à l'intérieu de la voiture." Je ne vois pas passer mon temps feuilleter le cahier des charges relatif à 1 concession des T. B. pour voir si la me sure est ou n'est pas réglementaire. Je veu croire qu'elle l'est. Et voyons oulUe. Qu'est-ce que ça veut dire : „(Quatre voys geurs peuvent se tenir debout à l'intérieu de la voiture V Non pas, comme on pourrait être tent de le penser, que quatre voyageurs pci vent, en cas d'encombrement, se détache de chacune des deux plates-formes pou prendre place debout dans chacun des deu compartiments. Non. Mais bien que deu voyageurs de chacune des deux plate* formes peuvent, en cas d'encombrement, pc iv-.trer dons chacun des deux compartiment de la voiture. Il faut- s'entendre : il « agi non de huit, mais de quatre voyageurs a total. Ce pioint étant acquis — vissez-vous 1 dans la tête — qu'arrivcra-t-il si la plate forme d'avant n'étant pa-s encombrée et 1, plate-forme d'arrière l'étant, quatre voya geurs de cette dernière cèdent à la tenta Lion de prendre place à 1 intérieur H Il arrivera que deux d entre euix prer diront place dians le compartiment arrièr de la voiture et que les deux autres pas seront dans le compartiment d'avant. Bon Si vous passez d/une classe inférieure une classe supérieure — j entendis de 1 seconde à la première — vous serez,, e moins de temps qu'il ne faut pour 1:écrira invité par le receveur à payer la difft rencef n'est-ce ijas 1 Or, si vous passez ci première en seconde, histoire de concoun j au dwsoncombrement de la plate-forme aj rière, le receveur, aveo ou sans etmpressa ment, vous remettra-t-il le zino d'un sou a remboursement duqjuel, en principe, vou avez le droit de prétendis 1 Je serais vraiment curieux de voir ça.. Et puis — c'est peut-être par ceci qu j'eusse dû commencer — où donc commenc l'encombrement 1 Commence-t-il à partir du moment où le voyageurs sont tellement écrasés les un sur les autres sur les plates-formes que le femmes et les enfants se plaignent d'étouJ fer 1 Ou, s'il s'agit de la plate-form d'avant, ne oommence-t-il qu'à partir d moment où le -wattman bougonne parc qu'il risque d'être empêché de manœuvre sa manivelle ? Est-ce "quand il y aura, sur l'une de cfcux plates-formes, dix-huit, dix-sepfc, seize quiinze, quatorze, treize, douze ou onz voyageurs que l'encombrement sera réput vraiment encombrant, ou à partir du nombre supérieur au nombre maximum qu ;o viens de citer î Voilà des ohoses qu'il importerait -n'est-ce point votre" avis ? — grandemec de savoir. Et si i 'encombrement ayant été dûinen constaté et les nouvelles mesures édictée par l'administration, en vue d'y parer ayan été prises, 1 encombrement rocommence i Ne dites surtout pas qu'il ne recommen cera pas. 11 faudi-ait, pour qu'il ne recommmençâ point, pour qu'il ne pût point recommencer que le receveur ou le wattman ou tous le deux ensemble se décidassent à crier ,,Complet !" Or vous savez bien que n l'un ni l'autre ne peuvent sortir ce mot-l pour 1 excellent motif qu'un tram n'est ja mais, au grand jamais complet ! Bien dl'autre&j questions pourraient e poser encore au même propos. Si, pa exemple, me trouvant debout à l'intérieu l'une voiture, je me trouve, dans un toui nant, irréductiblement projeté vers un dame et que, pour éviter des dc-glits plu graves, je m'accroche, comme à une der uièrO planche de salut, soit à la plume d son chapeau, soit au poil de son boa e que cHie plume ou ce poil ou tout ce cha peau ou tout ce boa- me reste dans 1 main, qui sera responsable 1 Qui payera 1 dommage 1 Est-ce moi 1 Est-ce la Coin pafc-niô ? J'ai posi quelques .unes — quelques-une 8eulemei.it — de ces questions à un recc veur de mes amis, et comme il ne faisoi point m:ne d'y répondre, j'insinuai : — Dites donc, mon ami, croyea-vou point qu'en prenant cette mesure la Con pû^nio ait Éampletmen* visfc à aw^oiente d'autant s& recettes t L'homme eut un sursaut, puis s enam rendu compte que nul, sauf moi, ne pouvait l'entendre, il me dit- à l'oreille : — Non pas, Monsieur, non pas ! Ii est entendu que toutes los recette* provenant de la vente des tickets „aux voyageurs debout de l'intérieur" iront au personnel de la Compagnie. Cest juste, n'est-ce pas ? puisque le nouveau règlement nous vaut un surcroît de besogne... C'est juste, en ei^et, très juste. Môme, dians ces conditions, je retire, paire que sincèrement je regrette do m'y être laissé entraîner, toutes ces objections botes et oes critiques ridicules que vous venez de lire... le controle db9 blés La Commission provinoiale des récoltes a pris cfes mesures sevères pour rendre efficace le contrôle dos btl^s et empêcher le coulage. Ces mesures concernent la surveillance du battage, le passage du blé aux minoteries et le contrôle des stocks. Les propriétaires de lutteuses mécaniques ont à de&JCrvir un secteur déterminé. Chaque semaine, un nouvel ordre de marche sera édi té et le contrôle sera particulièrement sévère à l'égard des producteurs qui déjà figurent sur les listes noires et peuvent donc à juste titre être considérés comme suspects. 11 a été établi trois périodes distinctes pour le battage du grain, notamment «e 30 scjpiem'cre 1017, le 30 novembre 1917 et le 30 janvier 1918, comportant chaque fois un tiers de la récolte. Si le grain n'est pas eip^dio directement aux magasins de la Commission provinciale, il demeure sons la surveillance des autorités locales, qui en sont rendues responsables. Un contrôle j Qr-manent est ("tt oli et les contrôleurs ont le droit de faire exliiber à la première réqui. sitdon toutes les quantités emmagasinée». En cas de manquement constaté, la commune est rendue responsable et s o.cpose à des sanctions sévères. Grâce aux mesures édictées, il sera dorénavant impossible aux cultivateurs en mai de fraude de fa.ire moudre le grain soustrait au contrôle- Aucun meunier ne consentira dorénavant à se charger de cette besogne. Le travail des minoteries a été réglé de telle meulière que les meuniers • travail lent par s.ries. Chaque série comporte une période de travail de six mois, à raison de * trois à *ix jours par mois, d'après i importance des installations. La surveillance de la fraude sera rendue dorénavant si sè. - vère qu'il est à espérer que les campagnards renonceront piutôt à leur» bén&iccs plantureux que de courir les risques de so 1 voir choper. En effet, à coté des ,,polizeâ' " en uniforme, il a été créé une forte bn-: gade de contrôleurs civils qui opéreront " plus particullièrement dans les rues de la L' capitale, les bourses, les cafés, les réunions en plein air, et auront pour tâche de sor-1 veiller spécialement les pâtisseries, les i'a-1 briques de. biscuits, de puddings, et autres " entreprises industrielles et commerciales qui L utilisent les farines fraudées. Grâce à ces mesures, la Commission provinciale du Bra-bant espère pouvoir mettre environ 15 mil. - lions de kil js de blé à la disposition du l' Comité d'alimenta ion. ù médecins et univeftsltqk t Nous faisions remarquer il y a 'quelques r jours que les conséquences de la fermeture - des universités de Bruxelles, Liège 'et Lou-t vain commençaient à se faire sentir par une alarmanire pénurie dans ie personnel médical de la. Belgique. Nous citions le cas de B Tirlemomt qui comptait avant la gucire di.v-^ huit médec us (et non pas cinquante-huit j comme il a été imprimé par erreur) et n on a plus actuellement que nein. On nous fait Q observer à ce sujet qrue ia pénurie n'est pas la même dans toute© les localités — et i c'est tant mieux. Cependant, certaines localités du Lim-bourg ont également vu diminuer leur personnel médic.il et le chiffre y est tombe en dessous de là normale. Hasselt, ville de 0 18,00-0 habitants, ne comtpte plus que quatre „ médecins, alors que, d'après le pourcentage calculé sur les tables de 1',,Annuaire sand- 1 taire de la Belgique ', le chiffra devrait y être de sept- Ii est à remarquer que le a pourcentage n'est- pas le même dans toutes , les provinces. Ainsi Tirlemont, ville de ' 18,000 habitants, comme la précédente, et â qui, en temps normal, avait dix-huit méde. r cins avons-nous dit, en possédait, grâce a ce chiffre, diéUx de plus que la moyenne du _ Brabant et devrait donc en avoir aujour-a dl'hui normalement seize au lieu de neuf, 6 chiftre constaté plus haut. Quel écart entre ia normale de Tirlemont et cel'e de ïïas-selt ! g Par contre, dans d'autres localités, la Q pléthore qui sé\issait jadis n'a pas encore diminué. Un lecteur nous signale même 1^ â phénomène contraire pour Saint-Trond, Ton-3 gros et Looz. Dan3 cette dernière petite 3 ville de 8,000 habitants, le nombre "tr augmenté d'une unité, ce qui porte lo chiffre e actuel à quatre médecins, tandis que .la i normale pour le Limbourg serait de deux. c Cette petite commune est d'ailleurs favo-r risée sous le rapport médical puisqu'elle compte, en outre, également surabondance s de pharmacie:is : deux au 1 eu d'un. Ces quelques exemples font supposer e qu'une meilleure' répartition serait pos ible. Nous citions L'autre jour le cas d'une ville i de provinoe où une clinique cie cen ma-e lades est confiée aux soins de quatre étudiants. Plusieurs médiecins nous ont écrit .. uemaudant l'adreisse, nous disant que a ç chose les intéressait vu que, ôia is leurs com. munos, ils ont trop de loisirs ! Une en-t quête générale rendrait sans douite des scr-s vicos, tant aux malades qu'aux médecins, t L'Université de Gand, la seule en activité, est justement celle qui recevait le . moins d'inscriptions pour la Faculté de nié. deoiae : en en comptait 146 annuellement, i tandis que Bruxelles en comptait 370, Liége 226 et Louvain 555 — lesquelles do naimt s une moyenne annuelle a!e 144 à 169 doo-: teiirs en médecine- i pratique, waif3 pas honnête ,Un bon conseil à tous ceux qui. attendent impatiemment leur provision de cliar- a bon pour i/hiver. Dès que le tombereau de r houille à destination de votre cave aura c quitté le quai de déchargement, ne le quit - tca des yeux que lorsque vous aurez ro 3 fermé le soupirail, sous peine qu'en cour; s de route quelques sacs ne prennent la clei - des champs. Naguère encore, il n'y avait 3 que quelques gamins à redouter et c'e>t- ù t peine si, au total, cent kilos pouvaient , manquer à l'appel. Il n'en est plus de i môme à présent, et le spectacle qui chaque p jour se aéroule sous nos yeux donne à - penser que le vol se pratique sur une plus grande échelle et reste néanmoins impuni. 5 Voici d'ailleurs comment opèrent charretiers et maraudeurs, qui, naturellement, sont de t rnèohe. Neuf fois sur dix, lorsque le tombereau quitte la gare, il n'est acoompagn^ s ouc du camionneur, le patron s# contenta^ - d assister au deohargesment et au pesage. A r partir de ce moment, l'honnêteté du charr® tder; répond! «otenm Seuksno^, ï'm&fëhr' voua : cette nonncisDO, quoique ^-<3 «■->-!ide parfois, est soumise à tant d'épreuve* que souvent e!le fléchit presque malgré elle, sans le savoir. Au premier tourt«in* do rue, des femmes, des boutiquiers atfc?jv dent, des sacs sous le bras, des mark â main. La discussion ne traîne pa>. li-tp-dement, gail'eties ou braisettes glissent c'-taa les sacs ouverts, les billets iur^- vcment dans les mains du charretier e* puis, le plus innocemment du monda, ia voiture oontinue son chemin. On pouvl à la rigueur, fermer les yeux lorsqu'il s'agit de malheureux qui grelo'.tent prés d'un âtre mort. Mais Ceux qui s'approprient ainsi le bien d'autrui sont des merçants patentés qui font payer tr,.-* o.,er les ' produits qu;ils nous vendent. Abr», [Kmrquoi permettrait-on qu'ils nous voient 'l Pourcjuoi serions-nous oom^»!i->js da cette duperie 'l II est du devoir de tout citoyen de dénoncer ces maraudeurs cha--us fois qu'il en a l'occasion, et cest ce quv% du res te, j 'ai fait, pour mon comp e, saita la moindre hésitation. aux art3 décoratifs Quelques mois avant la guerre, on avait décidé que l'aile gauche des musées da Cinquantenaire aurait dorénavant doux entrées pour le public : celle qui est connue de "tout le monde et s'ouvre du côté du pitre, et une autre, située au bout opposé des galeries et ouvrant sur l'hémicycle, derrière l'arcade. Le travail est exécuté. La porte- ornementale sur L'hémicycle, la double p<a-ta o chêne à grandes glaces, la logette très confortable du vestiaire, et même Je garde, en uniforme impeccable, tout est p*3>t, a.t-jn-diant que la porte s'ouvre... depuis uns. 11 n'y aurait à enlever que quatre, cadenas et la solide barre de fer de ir *. erso. Pourquoi ne le fait-on pas H De nvnil^»ax \dsiteurs viennent dui côté de l'avenue de Tervueren, soit qu'ils hab tent dans ces parages, soit qu'ils se rendent au mus» e j ar les trams de la porto de Tervueren. Ils sont obligés à ton long détour, d'aut-ynt plus regrettable que les musées ferment relativement tôt et dli-s octobre vont fermeu plus tôt encore. L'entrée du musse est d'ailleurs beaucoup plus belle par l'hémicycle. Tandis que L'entrée actuelle est tout à fait- ^ ^ litige, «'oeil ne rencontrant dans li ta lie t»:a moulages que la lumière trop blanche des plâtres et l'apparent désordre d'un précaire arrangement, du côté de l'hymicycle, au contraire, le coup d œil est des plus ^uap-tucux. Du haut d!u péristyle, le visi'X: r domine de suite la salle en contre-bas^ L-a vue s'arrête sur les grandes tapisseries décorant les murailles de gauche et d; dru.te et.^Se promène ensuite dans le raihm s : c les be-les vitrines où éclate la fouie polychrome des porcelaines de la Cl line et du Japon du legs Vermeersch et Dr ion. On n'est pas non p«us sans savoir oj;e 1a- ventilation e:-t fort nécessaire dans- un musée. La circulation d'air amende ; ar cette nouvelle entrée serait des plu; favorable dans ces. longues salles si hcvnittivQ-ment closes qui, dms toute leur (:iz:r.lw, n'ont ni portes., ni fenêtres moLL es. L'ouverture sur l'hémicycle sèrn i -.:1-iie avec plaisir par nombre de \i-^::o:rs* LES SAVANTS BELGES A L'ÉTRANGER- Le prbfe scur Le Wuli de 1 Uni.e.rit .• y-.* î..-c» vain, vient de donner utio s' rie de c-n:f . c " M tr^'S suivies, sur la Philosophie de l'ait, ù 1 l ui-verSitô de Poifi rs. Une revue franyai o n t |ua le sucéèp do notre compatriote fut ; -'s K • 4 qu'au pieu de sa chair so pressait un auditoire hrill-nt et fidèie. INSTITUT DE CHiWIEET DE T.: !CHO : C or- ; 1 Cédant à de nombreu es deman c , M- E. 11. < , chimiît© de l'Ef-t, directeur iie 1 iî.-.lat mie e: de microscopie de la ! u-: la , 9 (a\-enue Louisep via-1 de d'ioîder (t ajouU-r .i programme dSes études d'\ja ei couquei, «i.i •■•■a de e'aiuJo agi-i-:o>lo d'électricit\ do u. c , v ... dufctrbclle, de technologie, de maïkùiûûliquce, e lcgi^fla'Jion de droit c.vil, de c., • ;•>- silti. indtaitrial, n.i.« raloyic ^ 1 i ;r:e, etc i: y aura d'intTenantes visites d'é'a =0 • dustriels. Enfin, dans u;.e usina e. i-Jes:. agencée auront lieu. do3 essais industriel en {.-.r-nid. PU» ? PDftW Maison de confiance fait cc. Ji If-, o--i. b t g M n ,J u 11 pour provîGlons, 1 2, r. Grctr - -r -a, •1773 GALERIE GiROUX bous le tiixe ,,L'Art brabançon ' s'ouvrir.* le samedi 29 septembre une exp -i o ,.i • chiiecture et de décoration. Le c.aô . e :-tectural comportera une s'rie int ; 3 d'oeuvres et, projets de seize arc: r. ; s, tandis que le c.-t • dùcorat-if, où ser. ni p:é-seutées not.mimc.it dos i'a;onces de elles, ainsi que des tapisseries ancien.:-s et, modernes, dont on montrera L'evot, s'attachera partieul.i-remer.t à faire- 1 e:- rar le riche parti à tirer des préci -ax i -ments de l'art braban;on dans la .v: i:.ai d'une demeure d'aujourd'hui. NOS CONSEILS COiK0S • bl Séance de lundi 17 septembre. Sous la présidence de M. Steeus, £.. de bourgmestre, ia séance publique s'ouv.e a 11 11. 9. Le secrétaire communal donne 1 e d-une communication d une ligue c..-.: re l'accaparement, et d'urne protestation d'ouvriers électriciens socialistes contre une requête d'ouvriers électriciens non s-,.envii:; . — Ben vol au Collège I" d-olaio m. bt:%ns. Ne croyez point que la formule.: ,,i.envoi au Collège !' signifié quelque citose comme : ,,A la chaudière ou ,,Daa« les oubliettes I". On a parfois vu de c^s tiens ,,renvoyées" au Collège — à qui, pour le surplus, elles étaient adross'-es ! — on a vu parfois de ces q;uestÂons ,.récit.»s-sées" alors par le Collège au Conseil cjui-munal, qui prenait la peine de délib-ie: a leur propos. Cela s'est vu... M. Max iialiet dépose ensuite d^s budgets divers et demande -dos Crâôi«s supi'-L> mentaires. M. Pladet ne demande rien, cet e fois, pour les Hospices. Non, rien... Le svjapjf thique éohe,in- entretient le Cou.s.it- u.^s comptes de fa'ri pues d églises. On vote s r les créai i s supplém en t-a i vc-s • Adoptés i 1'. m ia i 11 mi'te. M. Steeus, lissant sa belle barbe, cl^n:Ude alors de s. u ion 1- plus courtois — a M. Steens s.iiî ètro si affable : — Personne u ; d- question à po.-r au Collège f Il semble «".ur. M. Brassinne ait l'envie da demander ivx t.'oiièye pourquoi il lol'ro , qu'on ani-jn'-L-ie chaque jour des imnt n-. dices place t'.ûs Martyrs. Il sembla i-i. 1 aussi que . ! .athouders veuille se f ire lo porte-|>ar: :e s?s clients des Be-vaurnut^ bruxello s. I, semble, enfin, que • M- î /vè-q-ue, que M. Conrnrdr, que M. iiuiîmon-Vanden Ncsî... : Mais ©es honorables conseillers rse èc ^ fient mot. Ce sera jxKir plus tard. cfe* tendant^ renvoi au Collège l La séant» pabliqng &i levée h 11 te. * P.

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Dit item is een uitgave in de reeks La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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